Dans un éditorial au vitriol, le prestigieux Wall Street Journal détruit un par un les espoirs d'évolution et de réussites du sommet sur le climat qui se tient actuellement à New York. Le manque d'engagement des pays en développement serait ainsi le principal obstacle à la mise en place de mesures globales de limitation des émissions de CO2.
Halte à l'optimise, semble dire le Wall Street Journal. Dans un papier percutant, repris par le magazine français Le Courrier International, un éditorialiste s'en prend à la vague d'espoir qui semble avoir secoué les pays occidentaux à l'approche du sommet des Nations Unies sur le climat. « Le 21 septembre, des dizaines de milliers de manifestants ont défilé à New York à l'occasion d'une grande "marche pour le climat", au moment même où les dirigeants de toute la planète arrivaient dans la ville pour participer au sommet des Nations Unies sur le changement climatique.
La manifestation n'est pas parvenue à perturber la circulation et Barack Obama a peu de chances de perturber quoi que ce soit, lui aussi, lorsqu'il s'exprimera le 24 septembre à l'occasion de cette énième étape de la grande course contre le réchauffement climatique » commence le journaliste.
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