Une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) montre qu’en introduisant dans l’alimentation animale certains produits riches en oméga 3, « on arrive à combler le déficit en oméga-3 des humains ».
La logique est imparable et connue depuis longtemps mais l’industrialisation a parfois fait oublier certains fondamentaux : mieux nourrir un animal fait de la meilleure viande. A l’heure où l’homme consomme trop de viande et où le rendement est devenu la première exigence, certaines banalités méritent d’être détaillées.
C’est ce qu’a fait l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) en coordonnant une étude sur le sujet « Nous avons démontré qu'en introduisant du lin ou des microalgues riches en DHA [l'oméga-3 le plus essentiel à notre organisme, NDLR] dans la nutrition animale, on arrive à combler le déficit en oméga-3 des humains » explique le chercheur à l’Inra Jacques Mourot, cité par l’Agence France presse.
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