L’épidémie est terminée en France mais des mesures prétendument sanitaires bloquent la reprise économique. Les données publiées par Santé France et l’OMS montrent que l’épidémie Covid19 a quitté l’Europe depuis début mai. Une partie des populations commence enfin à sortir de la sidération engendrée par la peur panique créée par les médias et les gouvernements, ce qui déplait fortement au lobby de l’apocalypse1 qui s’agite dans tous les médias pour la raviver et impose des mesures médicalement stupides ; elles entravent la reprise économique.
La désinformation redouble
"Il faut se préparer à une reprise de l'épidémie [de Covid-19], voire à une deuxième vague", martèlent depuis quelques jours les autorités, les médias et les professionnels de santé liés aux firmes pharmaceutiques et malheureusement trop de médecins soumis et de personnels soignants aux premières loges de l’intoxication matraquage.
Un mensonge répété dix fois reste un mensonge, assené mille fois devient une vérité impossible à contredire. Le maitre Goebbels a fait de trop nombreux adeptes chez nos gouvernants. Quand l’un d’entre eux ose dire l’état réel de l’économie (comme le nouveau porte-parole du gouvernement pas assez rodé au mensonge qui a tweeté que l’épidémie était terminée, il se fait agonir par les soumis du système dont ceux qui ont osé laisser euthanasier les résidents EHPAD à la moindre suspicion de Covid2.
Le Règne du « tout le monde sait » est à l’honneur
« Il a toujours été dit qu’il convenait de se préparer à une deuxième vague de l’épidémie », a souligné Jean Castex le nouveau premier ministre mais conforté par de théoriques opposants de tous bords. ILS SAVENT ! Dans le Figaro, Jérôme Salomon célèbre croque-mort de la république en marche, a déclaré qu’il fallait « se préparer à une reprise de l’épidémie, voire à une deuxième vague », qui est possible « cet automne ou cet hiver ». Sur France Inter, le ministre de la Santé Olivier Véran s'est dit vigilant concernant la situation de l'épidémie de coronavirus en Ile-de-France. "J'ai des signaux, pas inquiétants, mais d'attention en provenance de certains hôpitaux parisiens ». AFFIRMATION CONTREDITE par les analyses rassurantes du chef de service des urgences de la pitié Salpetrière, le Professeur Yonathan Freund qui comme Sœur Anne guette mais ne voit rien venir et le tweete clairement dans un thread détaillé.
« L’OMS met en garde contre une accélération de la pandémie dans le monde » titre Le Monde le 08 juillet 2020 »
On commence à connaitre l’objectivité de l’OMS comme celle du Monde. Les infos de 7h – « Coronavirus : le nombre de cas explose en Mayenne.
« On voit arriver de nouveaux cas, comme on en n'avait pas vu depuis plusieurs semaines", raconte à LCI Karine Lacombe3.
Yazdan Yazdanpanah 4 « il ne faut pas s'y tromper : le virus est toujours là…Il peut réémerger si nous baissons notre garde, par exemple en cas de grands rassemblements comme à la Fête de la Musique5 »
Sur Europe 1 Annie Levy-Mozziconacci, médecin à l'hôpital Nord de Marseille, alerte sur le « doublement des cas est observé toutes les 48 heures ».
Croient-ils, ces professeurs célèbres pour leurs liens d’intérêt avec Gilead, ceux qui ont poussé le gouvernement à interdire de fait la chloroquine, que les français vont les croire comme au premier jour ?
Sur quelles données scientifiques incontestables se basent ils pour tenir des propos aussi alarmistes ? Sur le nombre des nouveaux malades ? Sur celui des hospitalisations ? Des entrées en Réanimation ? Des morts ?
Où sont les malades de la prétendue reprise épidémique ?
Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui souffrent de signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations. Or, lorsqu’on consulte les données officielles de Santé France, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des entrées à l’hôpital pour Covid19 qui se situe très bas depuis plus de deux mois.
De même que le taux d’entrée en réanimation est très bas, que ce soit à Paris ou à Marseille avec une incidence inférieure à 2 depuis début juin.
De même que la mortalité devenue infime, que ce soit à Paris ou à Marseille
Le nouveau critère d’alarme : « les cas » l’invention au pouvoir !
Au début de l’épidémie, lorsque les tests auraient pu éventuellement être utiles pour dépister les sujets contagieux et les mettre en quarantaine le ministère interdisait de les pratiquer sauf exceptions6.
Maintenant que l’épidémie a quitté la France, le ministère base sa campagne d’entretien de la terreur sur ces tests non fiables et l'agence publique établit son « taux de reproduction » non plus sur les nouveaux malades mais sur le nombre quotidien de tests PCR positifs. De plus, à Paris7 ou comme à Marseille une grande partie des tests positifs ne sont pas des cas autochtones mais essentiellement des cas importés (sans que nos gouvernants n’installent des contrôles des frontières).
Créer la confusion pour entretenir la peur
Gouvernement et les médecins trop liés à l’industrie pharmaceutiques ne parlent donc plus de malades, d’hospitalisations, d’entrées en réanimation ou de morts mais de « cas », de tests positifs. Ils créent volontairement la confusion entre la positivité des tests au virus et le fait d‘être malade. Or si les porteurs du SARS-CoV2 sont nombreux, les malades du Covid-19 le sont beaucoup moins car la plupart des porteurs de virus actuellement dépistés ne souffrent d’aucun symptôme et, dans ces conditions ne peuvent transmettre que très exceptionnellement la maladie8.
On cherche, on cherche, on finira bien par trouver
Pour être certaine de faire grimper le nombre de cas, l'Agence régionale de santé de Mayenne va « mettre en place une campagne de dépistage qui va concerner jusqu'à 300.000 personnes »9. Il est vraisemblable qu’on va pouvoir ainsi découvrir quelques milliers de cas supplémentaires pour raviver la propagande de la peur.
Si l’épidémie progressait, le pourcentage de tests positifs dans la population devrait augmenter. Or c’est exactement le contraire que montrent les chiffres de Santé France
Des consultations pour suspicion de maladies remplacent les cas qui sont finalement trop peu nombreux malgré leurs efforts !
On comptabilise le taux d’angoisse généré par la campagne mensongère et on le claironne sur les ondes comme témoin du Covid !
Et si le nombre de tests positifs n’augmente pas malgré la multiplication des tests, le lobby de l’apocalypse utilise le nombre de consultations pour angoisse de covid19 entraînée par la propagande mensongère ainsi que le fait Santé France10 pour Paris : « autre signe d'une possible reprise de la maladie, du 29 juin au 5 juillet, 1 523 actes médicaux pour suspicion de Covid-19 ont été enregistrés par les associations SOS Médecins, cela représente une hausse de 41 % par rapport à la semaine précédente ».
Comme en Mayenne, proclamée nouvel épouvantail : « la Mayenne a enregistré 1324 passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 sur 10 000 passages au total le 15 juillet, ce qui est largement le niveau le plus élevé de France »11..
Et aussi à Marseille : dans le département des Bouches-du-Rhône, les dernières données disponibles font état de 621 actes SOS médecins pour suspicion de Covid-19 sur 10 000,12 ».
La victime actuelle majeure de cette propagande mensongère, au-delà des problèmes psychiatriques induits par la panique est l’économie du pays
Et la chute économique aura évidemment un large cout social. L’entretien de la peur associé à des mesures sanitaires inutiles et coûteuses crée un climat psychologique délétère et des conditions dégradées d’activité professionnelle qui ralentissent considérablement la reprise économique, seule urgence actuelle pour notre pays.
Les mesures sanitaires ont un coût direct humain et financier important qui grève la rentabilité des entreprises déjà gravement mise à mal par le confinement.
Pourquoi fusiller notre économie, nos commerces ?
Comment équilibrer les comptes lorsque la salle de restaurant ou de cinéma ne doit plus utiliser que la moitié du public pour lequel elle a été conçue ? Et qu’on terrorise la clientèle en lui rappelant par les médias et le port du masque obligatoire qu’elle risque sa vie en y allant et en tous cas des contraventions énormes. Qui ira faire « les soldes », privées de respirer et de se promener dans les rayons sans la sensation d’une surveillance permanente des vigiles ?
Comment éprouver l’envie de travailler avec les autres lorsqu’on vous répète en permanence que leur présence est dangereuse et que même les réunions de famille sont dangereuses ? Pourtant c’était la belle occasion de faire marcher les commerces alimentaires… On se contentera de nos pâtes et basta.
Comment désirer acheter des biens non vitaux lorsqu’on vous rappelle qu’il faut y aller masquer et que sans l’expérience de la communication virtuelle approfondie, vous ne pourrez pas évaluer correctement la sincérité du vendeur dont le sourire ou la grimace seront cachés. Le regard seul pourra vous aider et vous n’y lirez le plus souvent que la dépression et la tristesse. Pas encourageant.
Pourquoi acheter une voiture puisque durant le confinement de très nombreux maires ont réduit les grands axes de circulation à une voie, entraînant l’augmentation majeure des embouteillages alors que la circulation n’a pas encore repris son intensité habituelle et que tous vous culpabilisez de l’utiliser ?
Pourquoi ce suicide économique ? A qui profite le crime ? Aux économistes de nous le dire
En dehors de quelques grands milliardaires, à qui profitera le crime de l’imposture du Covid, grippe comme les autres avec mortalité moyenne par rapport aux autres épidémies annuelles ?
Après le confinement qui a augmenté le nombre de victimes directes de Covid19 par rapport à la quinzaine ciblée13 et entraîné de très nombreuses victimes collatérales14, les mesures sanitaires inutiles que le gouvernement impose aux entreprises et aux citoyens ont été en grande partie responsables de l’absence de rattrapage de consommation qu’on espérait à la sortie du confinement.
Les campagnes totalement injustifiées d’entretien de la panique et les nombreuses restrictions quotidiennes des activités par des prétendues raisons sanitaires parfaitement infondées15 sont responsables de la poursuite de l’atonie de la demande et nous conduisent tout droit à la pire crise économique que la France ait connue depuis la Libération.
La Commission européenne prévoyait dès mai une récession historique en 2020, accompagnée d’une forte hausse du chômage. Les mesures post confinement nous conduisent selon le pire scénario à une baisse à deux chiffres du PIB.
En plus d’un surplus de mortalité d’environ 50000 français en tenant compte des suicides et maladies non traitées à temps, le confinement et les mesures post confinement constituent un véritable suicide économique.
En conclusion
Toutes les données scientifiques publiées montrent que le Covid19 a quitté la France pour cette année et que la deuxième vague dont on nous menace n’est qu’un nouveau croquemitaine créé pour entretenir la panique, justifier des mesures sanitaires liberticides et injustifiées, qui plombent l’économie mise à mal par le confinement et peut-être permettre d’autres mesures qui sont moins évidentes pour les non spécialistes de l’économie.
Dans l’immédiat, refusez les tests qui ne peuvent rien vous apporter car absolument non fiables. Vous ne saurez même pas si vous avez eu ce fameux Covid, puisqu’ils ne sont absolument pas spécifiques.
Surtout, exigeons de nos autorités qu’ils autorisent de façon claire et transparente l’usage de la chloroquine et de l’azithromycine par tous les médecins diplômés exerçant en ville ou à l’hôpital. Ces médicaments reconnus efficaces dans le reste du monde devraient rassurer ceux qui craignent de tomber malade s’ils sont disponibles pour tous.
Résistez au port du masque qui montre publiquement que vous acceptez de vous soumettre. Comment peut-on croire un gouvernement qui explique pendant deux mois que les masques sont inutiles et qui maintenant veut l’imposer par la force publique ?
Résistons à l’oppression qu’on nous impose depuis trop longtemps et qui détruit notre économie. Et si nos gouvernants s’entêtent dans leur paranoïa suivons l’exemple du peuple serbe qui a su faire entendre ses revendications.