Par communiqué le Réseau environnement santé, qui rassemble les associations spécialisées dans le domaine de la santé, remet en question les normes d’évaluation de la qualité de l’eau. L’évolution des connaissances scientifiques notamment sur les perturbateurs endocriniens devrait impliquer une évolution de la grille d’analyse.
Les études ont beau démontrer que la qualité de l’eau en France est globalement bonne, les spécialistes de la santé estiment que ces résultats ne sont pas suffisants. C’est ce que l’on retient du communiqué publié par le Réseau environnement santé, organisme représentatif des associations sanitaires. « L'UFC Que Choisir publie une analyse de la contamination de l'eau sur l'ensemble du territoire à partir des données fournies par le site du ministère de l'Ecologie. Conclusion : « près de 96 % des consommateurs peuvent boire leur eau en toute confiance, 2,8 millions ont en revanche une eau polluée notamment par les pesticides, les nitrates ou le plomb » » commence le texte. Des résultats qu’il faut en fait remettre en question
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