Fin mars Anne Hidalgo, maire de Paris, va présenter au Conseil de la ville une charte de téléphonie qui met l’accent sur la diminution des ondes électromagnétiques. L’idée est de diminuer de 30 % les ondes tout en s’assurant de maintenir la performance numérique de la ville.
Anne Hidalgo, la maire de Paris, va présenter à la fin du mois une charte de téléphonie mobile au Conseil de la ville. L’idée est d’agir sur l’exposition des habitants aux ondes électromagnétiques sans pour autant renoncer au réseau performant de la capitale. « Quelque 2 240 antennes-relais sont aujourd’hui disséminées sur les toits de la capitale. Pour encadrer ce secteur, vis-à-vis duquel elle ne possède pas de compétences juridiques, la Ville a signé depuis 2003, avec les trois opérateurs historiques, Bouygues Telecom, Orange et SFR, rejoints en 2010 par Free Mobile, une « charte relative à la téléphonie mobile », renouvelée depuis à plusieurs reprises » raconte Le Monde.
Actuellement les niveaux autorisés datent de 2012 et plafonnent à 5 V/m (volts par mètre) les niveaux pour la 2G ou 3G et 7 V/m pour la 4G. Le document présenté fin mars au Conseil de Paris ramène à 5 V/m ce niveau, ce qui représente une baisse de 30 %.
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