Avec le projet de moduler les allocations familliales en fonction des revenus, les enfants seront deux fois discriminés, et les parents seront soumis à une double peine.
1. Première discrimination qui s'aggrave
On interdit à certains enfants d’avoir un père ou une mère, ou on les abandonne à la naissance, par la GPA « Gestation Pour Abandon ». Pour de l’argent ! Je pensais que les socialistes étaient proches de l’humain. En réalité ils se comportent comme d’affreux capitalistes ! Faire du fric en permettant la vente d’enfants ! En Grèce la GPA, c’est 10 000 € pour la mère porteuse. Voilà que le Gouvernement Français laisse faire chez nous. Il se moque des enfants. Les enfants actuellement issus de GPA devraient être confiés à des couples père-mère ayant l’agrément pour adopter (30 000). C’est la solution au cas par cas qu’il faut mettre en place pour stopper la marchandisation du corps de la femme et des enfants à la naissance.
2. Deuxième discrimination qui se prépare
Les députés PS incompétents, mais obéissants au chef, veulent moduler selon les ressources des parents les Allocations Familiales (AF). Les AF sont faites pour compenser le coût de l’enfant. Ce coût est le même pour toutes les familles. Les AF sont actuellement versées de façon égalitaire à toutes les familles. On parle de "l’universalité des Allocations Familiales" que tous les pays du monde nous envient et que certains commencent à copier (Corée du Sud, Allemagne, Japon…). L’argent vient surtout des revenus de ceux et celles qui travaillent. Ainsi les familles contribuent par les revenus des parents : pour les familles riches, forte est la contribution ; pour les familles modestes elle est faible ou très faible. L’Etat en voulant mettre sous condition de ressources les Allocations familiales, discrimine en les volant des enfants pour maintenir son train de vie. Ainsi les familles moyennes deviendront pauvres et les pauvres passeront à la précarité.
Notre président ”qui aime les pauvres” veut que tout le monde soit pauvre sauf lui et ses copains. Ils ne savent pas que les familles élèvent les enfants en se privant. Non seulement ils prélèvent sur la consommation de chacun par la TVA un impôt d’autant plus lourd que la famille a plus d’enfants, mais encore ce sont ces enfants qui paieront les impôts et les retraites de tous. Voilà l’égalité socialiste !