On aurait cru que la signalétique routière était une chose banale, et pourtant, la ville de Grenoble a franchi le pas pour bouleverser les codes. Une œuvre d’art inspirée du peintre Vassily Kandinsky a vu le jour sur la voie publique, devant une école maternelle.
La fresque a été peinte sur la chaussée devant l’école Alphonse-Daudet à Grenoble par les élèves eux-mêmes : un projet pédagogique en écho à la récente exposition du peintre russe que l’on surnomme l’inventeur de l’art abstrait, qu’a accueillie la ville.
Le marquage au sol, un domaine très encadré
Si des approches aussi originales relèvent de l’exceptionnel, c’est parce que le marquage au sol est un domaine très encadré par la loi. Il suffit de faire un tour sur un site spécialisé, comme Virages.com, pour s’en persuader. Le jaune est utilisé pour interdire l’arrêt ou le stationnement (arrêts de bus, emplacements réservés aux véhicules de livraison et aux convoyeurs de fonds…). Le vert est utilisé pour signaler les pistes cyclables. Le bleu peut être utilisé pour marquer les limites des emplacements de stationnement : en pratique, cette couleur est surtout utilisée pour marquer les places réservées aux automobilistes. Un arrêté adopté il y a bientôt 30 ans encadre l’utilisation de ces couleurs. Découvrez les produits de signalisation routière sur virages.com.
Marquage au sol : plusieurs techniques au choix
Plusieurs techniques existent pour apposer le marquage au sol. Le plus primitif, c’est la bonne vieille brosse ou le bon vieux rouleau. Mais il y a plus moderne : les appareils de pulvérisation équipés de pistolets de traçage permettent de contrôler le débit : le marquage obtenu est homogène, et des économies de peinture sont réalisées. Des enduits (à chaud et à froid) existent également. Ce produit a l’avantage d’être très résistant, les marquages ayant une durée de vie de 5 à 8 ans. Des bandes de marquage préfabriquées adhésives existent enfin, elles sont utilisées essentiellement pour des marquages temporaires.