Après la Coccinelle, la Mini, la Fiat 500, voici donc que la R5 s’apprête à renaître de ses cendres.
Le retour de la R5 cette fois 100% électrique
Mais, à la différence de ses illustres et célèbres prédécesseurs, la R5 sera exclusivement électrique. Pour ceux qui n’ont pas vu les photos, allez jeter un œil sur Internet, elle est vraiment pas mal. L’enthousiasme est tel que l’on parle déjà d’un projet de 4L électrique ! On attend désormais avec impatience la nouvelle 205 mais surtout, surtout évidemment, la nouvelle 2 CV.
Il n’y a aucun projet dans les cartons de Peugeot et Citroën a priori, mais à force d’en parler, cela pourrait bien inspirer Carlos Tavares, le nouveau patron de Stellantis, le groupe dans lequel Peugeot-Citroën s’est fondu avec Fiat. Maintenant, si vous possédez une de ces anciennes voitures, ou d’autres avec du cachet, écoutez-moi bien : vous avez tout intérêt à en prendre soin, et, si besoin à les remettre en selle.
Un statut dérogatoire pour ces voitures anciennes
Pourquoi ? Parce que ces véhicules anciens bénéficient d’un statut dérogatoire : ils ont le droit de circuler partout, y compris dans les grandes villes : les restrictions de circulation ne les concernent pas. Ensuite, parce que l’assurance pour un véhicule ancien ne coûte que quelques dizaines d’euros à l’année.
Enfin, parce qu’il y a un vrai marché de la voiture d’occasion de plus de 30 ans. Même une Citroën GS se négocie entre 2.000 et 4.000 euros, ce qui n’est pas rien. N’oubliez pas, cependant, qu’il vous faut demander une carte grise collection pour votre ancienne voiture. Même un vieux tracteur ou une vieille camionnette sont éligibles. En bonus, avec une carte grise collection, le contrôle technique est moins sévère, et il se passe une fois tous les 5 ans, et non tous les 2 ans.