L’interdiction des néonicotinoïdes, insecticides qui aurait des effets sur l’homme, a poussé le gouvernement à encourager l’identification de mesures d’accompagnement. Un travail mené par l’Anses et qui porterait déjà des fruits.
Un communiqué du ministère de l’environnement tend montre que le gouvernement ne s’est pas désintéressé du cas des néonicotinoïdes depuis leur interdiction dans le cadre de la loi sur la biodiversité. Ces insecticides qui posent un sérieux problème de déclin des abeilles, et pourraient même avoir des conséquences sur la santé de l’homme, ne pourront plus être utilisé en France à partir de septembre 2018.
Comme toutes les décisions liées aux produits chimiques utilisés par des professionnels, la suppression doit être suivie de solutions fiables d’alternatives. « Pour accompagner cette interdiction le gouvernement a chargé l'Anses d'identifier les substituts possibles aux néonicotinoïdes pour tous les usages, de vérifier leur efficacité ainsi que leur viabilité (technique et financière) et les éventuels points d'attention sur leur impact environnemental ou sanitaire » explique ainsi le ministère de l’Environnement dans un communiqué.
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