Le site d'informations 20 minutes soulève une question très intéressante en se penchant sur la pollution que représente la crémation. De plus en plus de personnes choisissent d'être brulés après leur mort, «les impacts environnementaux de ces funérailles ne sont pas négligeables » explique le quotidien gratuit. D'ici à 2018 tous les crematoriums devront être équipés de systèmes de filtration.
En 2013 un mort sur trois est passé au crématorium. Ces chiffres confirment que la pratique a de plus en plus de succès en France où l'inhumation est plus traditionnelle. A tel point que des questions commencent à se poser sur l'impact environnemental de la crémation. Depuis 2010, un décret sur les émissions de polluants a été adopté. Il prévoit que d'ici 2018, les structures spécialisées s'équipent de systèmes de filtration des polluants. Quatre ans plus tard, la transition ne semble pas s'être complètement généralisée.
Dans un article sur le sujet le site internet du quotidien 20 Minutes explique que « Sur les 167 crématoriums français, environ la moitié n'a pas encore pris les dispositions nécessaires pour rentrer dans les normes d'émissions de polluants prévues par le décret du 16 février 2010. »