Acheter un château ou un manoir n’est pas un acte anodin. Comme tout acte d’achat immobilier, il doit avoir été mûrement réfléchi, et nécessite plus que jamais l’expertise de vrais professionnels, ayant une connaissance du marché incontestable.
2020 et 2021 ont été des années record en matière de vente de biens d’exceptions en France (+40% de signatures de compromis de vente chaque année pour Le Nail). Les biens se raréfiant, le marché s’est tendu. L’offre est moins importante aujourd’hui : On ne construit plus de château ou manoir alors que le nombre de candidat à l’acquisition de biens hauts de gamme ne cesse de croitre.
On peut s’attendre à la poursuite de la hausse des prix pour les biens en bon état.
Il reste donc difficile de satisfaire toutes les demandes d’acquéreurs : la situation sanitaire a provoqué une soudaine « poussée verte » – montée de l’écologie, recherche de la nature, télétravail rendu possible, pandémie ! L’aspiration à un nouveau mode de vie a fait évoluer le profil des acheteurs potentiels : nous avons de plus en plus à faire à des acquéreurs désirant résider plus longtemps dans le bien que nous leur vendons. C’est pourquoi nous parlons désormais de résidences semi-principales. Tous les biens situés dans de beaux environnements, accessibles par TGV, autoroute et… internet, à taille humaine et sans travaux de gros oeuvre, autrement dit prêts à être habités pour un transfert immédiat d’habitation, ne restent pas longtemps sur le marché !
Les « nouveaux » acquéreurs sont souvent des quinquas qui ont réalisé que pour le prix d’un appartement à Paris, ils pouvaient s’offrir une jolie propriété en province. Il en va probablement d’un certain rajeunissement de leur âge moyen…
Néanmoins la durée moyenne de détention d’un bien de prestige est d’une dizaine d’années. Il est d’autant plus important de s’entourer des conseils avisés d’un professionnel pour préserver son patrimoine.
Le marché immobilier des biens d’exception a connu depuis 2020 une profonde évolution. La faculté d’adaptation de Le Nail est reconnue, tant au niveau national qu’à l’étranger. Nous vendons 30% environ de nos propriétés à des étrangers alors que la fréquentation étrangère sur notre site se situe à hauteur de 60-70%, (anglais, australiens, américains principalement). Actuellement, avec la crise sanitaire, ces acquéreurs ont de la peine à se déplacer, mais ces chiffres laissent penser qu’il existe une vraie réserve d’acquéreurs… A nous donc d’avoir un portefeuille à la hauteur de leurs attentes.
Notre offre la plus dense est indéniablement dans l’Ouest de la France, territoire dense en propriétés et convoité pour ses belles demeures familiales et son accessibilité. Néanmoins, pour la plus grande satisfaction de notre clientèle, nous jugeons important d‘étendre nos implantations et de densifier notre présence à l’instar de ce que nous avons entrepris récemment en région bordelaise et en Dordogne. En Bretagne, une partie de la région Centre, le Berry, nous cherchons encore des représentants.
On peut penser que l’offre de vente restera faible dans les mois qui viennent, notamment à cause de la période électorale qui s’annonce et qui se traduit traditionnellement par de l’attentisme.
Un projet de cession avec ses conséquences familiales et patrimoniales nécessite conseils et préparation. Nous sommes beaucoup consultés dans ce sens actuellement.
Le bon conseil d’aujourd’hui construit le succès futur.