MISE à JOUR : La rumeur concernant le vandalisme du bureau de Président de la République par Mme Trierweiler a été démentie par le Mobilier National selon le Figaro qui a interrogé l'établissement public à ce sujet.
Le cliché de la scène de ménage ! Alors que Valérie Trierweiler se remet de ses émotions au pavillon de la Lanterne, dans le parc du château de Versailles, après une semaine de repos à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, une folle rumeur court sur le Net et revient sur la rixe qui aurait opposé François Hollande et son ex-compagne, quand celle-ci a appris la liaison du chef de l'Etat avec Julie Gayet.
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Les couloirs semblent résonner dans le palais de l'Elysée. Une rumeur court depuis ce mardi sur Internet, et revient sur la scène de ménage qui aurait eu lieu entre le président de la République, et la journaliste Valérie Trierweiler. Une dispute qui ne se serait pas déroulée sans casse. Ainsi, le site lecolonel.net relate donc, à partir d'un témoignage, anonyme, évidemment, la dispute entre les deux membres du couple présidentiel.
Valérie Trierweiler, dans une colère folle, aurait saccagé le bureau présidentiel
D'après ce site, qui rapporte les propos "d'un haut fonctionnaire du Mobilier National, condisciple d'un ami", le Mobilier National aurait été appelé en urgence dans la matinée du vendredi 10 janvier dernier, afin de procéder à quelques aménagements de la déco présidentielle, qui aurait subi des dégradations. Des dégradations, qui selon le fonctionnaire dont lecolonel.net rapporte les propos, auraient été causées par Valérie Trierweiler, qui, emportée dans une colère folle en apprenant la liaison de François Hollande avec l'actrice Julie Gayet - on peut la comprendre - aurait fait voler en éclats quelques vases de la manufacture de Sèvres, des pendules précieuses, ainsi que quelques "objets d'arts de très grande valeur artistique et historique".
Des dégâts estimés à trois millions d'euros
L'ex-concubine du président aurait même cherché à se jeter sur le chef de l'Etat, avant d'être écartée par le service de sécurité, et aurait terminé sa crise de nerfs dans le Boudoir d'Argent, la pièce adjacente au bureau présidentiel, où elle aurait continué "son oeuvre destructrice". L'Elysée n'étant pas équipé de meubles à monter soi-même, achetés chez Ikea, et ne faisant pas appel à Valérie Damidot pour changer la décoration, le Mobilier National aurait estimé le coût des dégâts à trois millions d'euros, meubles précieux et oeuvres d'art obligent...
Et le site Internet lecolonel.net de se poser la question : qui paie ? Il y a fort à parier qu'une telle rumeur ne sera sans doute jamais confirmée, et reléguée au rang des secrets de l'Histoire.