Le GIEC seul, monopolise et empêche la pluralité des analyses climatiques

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Par Daniel Moinier Modifié le 20 octobre 2019 à 23h09
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@shutter - © Economie Matin

GIEC seul organisme reconnu mondialement en matière de climat, est-il détenteur de toutes les analyses et vérités ? Lorsqu’il n’y a plus qu’une voix, une seule idée, un seul pouvoir, nous sommes régis par une sorte de dictature (médiatique) qui empêche toutes les autres idées d’avoir droit de parole.

A priori, ce qui peut surprendre car lorsqu’il y a idée et pouvoir unique, une contestation immédiate notamment de gauche, se déclare, revendique une autre direction, analyse et idée. Avec le climat à première vue, il existe un consensus de l’ensemble des populations mondiales ou presque. Regardez les 500.000 personnes qui sont venues entendre et applaudir Greta Thunberg fin septembre à Montréal et toutes les réceptions dans diverses capitales mondiales. Comment comprendre qu’une jeune fille venue de nulle part puisse être reçu par l’ONU, par différentes nations du monde avec autant de ferveur ? Ce qui a de plus révolutionnaire chez elle, c’est qu’elle parle haut et fort sur un pied d’égalité, elle n’a pas de principe, elle n’est pas là pour être douce et séductrice, elle ne s’excuse pas de parler au contraire, elle « engueule » les dirigeants qui ne suivent pas le mouvement notamment la France qu’elle veut traduire en justice !

Alors comment faire pour modifier toute l’économie mondialement en quelques mois, quelques années, même si chaque pays commençait à s’organiser individuellement pour tenter d’assurer sa préservation ou lancer des négociations sans fin avec une adolescente de 16 ans ! C’est plus facile de diffamer, débagouler sur une adolescente que sur un sujet très scientifique que beaucoup n’arrive pas maîtriser, ni vraiment comprendre. C’est plus facile de regarder son visage, sa photo pour se demander si elle vous plait, si vous aimez sa façon d’être, de discourir...

Mais son apparition, « on croirait Jeanne d’Arc », est venue réveiller nos enfants et surtout leur éco-anxiété qu’elle a transformée en une dangereuse vision du monde et de la politique. Certains paraît-il commencent à faire des crises d’angoisse liées à la probable fin du monde !

Marc Reisinger qui a essayé de l’interroger à Stockholm, la présente comme un étrange leader climatique qui n’accepte pas qu’on lui pose une question sur le climat. Il écrit aussi que Greta n’a répondu à aucune question. « Je me suis trouvé face à une petite fille éteinte, sans passion, manipulée par des gens inquiétants, enfant sous terreur » gardée par plusieurs gardes du corps !

Nous sommes mis au pied du mur devant une urgence climatique à 90 % fomentée par l’humain décrétée par le GIEC. Pas une émission, un article, une réflexion, sans avoir un mot, une allusion, mais plus encore une obligation de changer complètement ses comportements, sa manière de vivre, de cultiver, jardiner, fabriquer, se déplacer de consommer, de penser même. C’est un dictat comme on n’en a jamais connu sauf peut-être sous certaines « dictatures ». Cela va même jusqu’à agresser des boucheries, abattoirs, etc..., pour faire passer cette seule idéologie jusqu’au boutisme, y compris par ce mouvement mondial qui irait jusqu’à se détruire, ne plus faire d’enfants pour que la terre subsiste sans vie humaine et même animale concernant les bovins !

Mais est-ce que l’ensemble de la population a le même degré d’adhésion que ce qui est proclamé par les alter- mondialistes ; Greenpeace, les jeunes ? Je suis loin de le penser. Lorsque je discute avec des amis, des personnes rencontrées lors de réunions, conférences, je peux constater que l’adhésion est loin d’être aussi massive que souhaitée.

Peter Taalas, secrétaire général de l’organisation météorologique mondiale, a publié en septembre 2019 une réponse aux catastrophismes et alarmistes du climat.

Il nous dit que depuis des années un certain discours médiatique essaie de nous faire croire que l’apocalypse climatique est pour dans quinze, vingt ans et qu’elle a même déjà commencé. Les médias, ceux qui se disent de « référence » en ont beaucoup rajouté au catastrophisme.

En admettant même, ce qui peut être déjà contestable, que l’évolution actuelle du climat serait plus brutale que par le passé, proche ou lointain, le fait demeure que nous disposons aujourd’hui d’un outillage scientifique, technologique et économique bien plus considérable que jadis. Il y aura toujours des drames causés par les ouragans ou les sécheresses, mais globalement nous sommes de mieux en mieux armés pour y faire face. Le principal risque que nous courons en la matière, c’est de continuer à nous raconter des histoires de fin du monde, qui nous conduiront à envisager de façon inadaptée les vrais problèmes d’adaptation posés par un climat qui change depuis toujours. Nous courons ainsi le risque de diminuer notre capacité de résilience, pour des raisons purement irrationnelles.

Par ses déclarations critiques, Petteri Taalas, qui n’est pourtant pas un climato-réaliste, vient peut-être d’ouvrir une brèche intéressante pour libérer un peu la parole. L’OMM, dont il est le secrétaire général, est tout de même, avec le Programme des nations unies pour l’environnement, l’un des deux organismes à l’origine de la fondation du GIEC, cette structure scientifico-gouvernementale qui donne le la sur les questions climatiques depuis des années.

Ce « carbocentrisme » survit par habitude de pensée, par conformisme académique et médiatique, mais aussi grâce à son discours moralisateur qui rend si difficile la discussion. À ce sujet, qui me dit ce qu’il a compris lorsqu’on vous annonce que telle action ou telle autre va produire tant de tonnes de carbone. Quand on pense que le carbone est si léger (1,3g par litre d’air ou 1,964kg/m3), comment s’en représenter une tonne ou des tonnes ?

Petteri Taalas nous dit également que la chappe de plomb s’effrite et que petit à petit les choses évoluent. La « Contre-COP » que nous organisons chaque année en décembre est invariablement un succès, ainsi que nos événements plus ponctuels. La taxe carbone malmenée par les gilets jaunes en est un exemple ainsi que l’opposition de plus en plus massive aux éoliennes. Il ne suffira plus de peindre un discours en vert pour le faire accepter sans discussion.

D’un autre côté, Il faut reconnaître toutefois qu’une part de ce mouvement paraît très porteur et réaliste, c’est la réduction de toutes les pollutions. Ce qui semble très logique et plus que souhaitable. Ce mouvement semble très bien suivi et bien engagé depuis plusieurs années. Sur ce point un large consensus c’est rapidement mis en route, car le ressenti et la visibilité sont rapidement constatés. Il touche surtout la santé de chacun et à l’époque des cancers, problèmes respiratoires…il est normal que chacun se sente concerné pour soi, sa famille, amis et par extension, toute la population.

Pour ce qui concerne le climat, les canicules qui commencent à se succéder, avec la sécheresse, le manque d’eau alertent l’opinion tout en se posant la question pour certains : est-ce véritablement l’humain qui en est la cause ? Comment arrêter ce processus ? Il nous avait été annoncé qu’avec la mise en route des réductions mises en place, à la fin du siècle nous aurions diminué de 2 degrés le réchauffement. Mais mi- septembre 2019, le GIEC nous annonce que malgré tous les efforts qui pourront être consentis, ce n’est plus 2 degrés mais 7 qu’il faudrait atteindre. Et de poursuivre qu’il sera impossible d’y arriver !

Et si c’était très peu l’humain qui était en cause. Emmanuel Leroy Ladurie dans son livre « Histoire du climat depuis l’an mil» pourrait peut-être nous ouvrir à d’autres analyses. Il annonce que le changement de climat est un « deus ex machina » dont on abuse volontiers lorsque l’on cherche à expliquer le déclin ou la naissance d’une civilisation. Les œuvres du géographe américain Ells-Worth Huntington les mettent en action de façon caricaturale. Les thèses d’A.Toynbee dans « A.Study of History » en font usage de façon plus nuancée peut-être mais avec les mêmes dangers.

Tapez sur google : Canicules et vous aurez le panorama de toutes les hausses de températures qui ont existé depuis l’an mil.

Le livre d’Emmanuel Leroy Ladurie révèle des évènements climatiques de canicules très importants, confirmés dans le Ampshire Advertiser From Southampton du 18 juillet 1852, le journal Horizons et le Belgotopia (Un autre regard sur le climat) :

(Voir le lien ci-dessous de presque toutes les périodes exceptionnellement chaudes et de sécheresse depuis l’an mil.)

Une autre étude et analyse contradictoires viennent encore donner une touche discordante à ce consensus.

Edouard Davin et Peter Bebi de l’ETH de Zurich (Eidg. Institute für Atmosphäre und Klima) révèle qu’une étude internationale a comparé neuf simulations du climat en prenant deux situations hypothétiques extrêmes : d’un côté, une Europe dépourvue de toute forêt, de l’autre, un continent aussi boisé que possible.

Tous les modèles indiquent qu’un reboisement peut faire monter la température régionale en hiver dans les régions de montagne et en Europe du Nord. La raison : la couche de neige est moins hermétique sur les arbres qu’au sol, ce qui réduit la réflexion du rayonnement solaire. En revanche, les résultats divergent lorsqu’il n’y a que peu ou pas de chute de neige. La réduction de l’albédo (1) pour une surface boisée a dans ce cas moins d’influence sur le climat régional.

Les conséquences de ce processus sur la température ne sont pas claires, indique le responsable de l’étude. Une opinion partagée par Peter Bebi, qui étudie l’effet protecteur des forêts contre les dangers naturels à l’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) : Entreprendre des reforestations dans les Alpes centrales près de la limite de la forêt pour des raisons climatiques n’a souvent guère de sens.

Autre étude par Futura-Sciences et Réseau action climat, apporte d’autres possibles hypothèses du réchauffement :

Les éruptions du soleil et d’une étoile KIC 9655129 peuvent modifier les températures et même si elles sont plus puissantes, devenir dévastatrices pour notre monde.

Conclusion :

Qui croire, alors qu’une autre étude résultant de travaux précis très modernes, nous dit que le CO2 est relégué sur le plan thermique à un rôle minime lié à sa quantité toujours très faible dans l’air. L’ensemble des gaz dans l’air crée la couche d’isolant qui nous protège du froid de l’univers.

Grâce à Chandrashekhara Venkata Râman et Leonid Mandelstam nous ne pouvons plus mettre en doute que tous les gaz de l’atmosphère ont des raies d’absorption, donc d’émission dans l’infrarouge proche, qu’ils ont des rôles similaires et que le CO2 anthropique ne peut bloquer à lui seul la non-absorption des gaz.

Attaquons-nous en priorité à la pollution qui est déjà un énorme challenge, déjà bien avancé, compte tenu de l’évolution mondiale de nos sociétés.

(1) L'albédo du système Terre-atmosphère est la fraction de l'énergie solaire qui est réfléchie vers l'espace. Sa valeur est comprise entre 0 et 1.

www.danielmoinier.com

Les périodes de réchauffement exceptionnelles depuis l’an mil

En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable !

En 1160, à la bataille de Béla (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.

En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.

En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.

En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.

En 1440 la chaleur fut excessive.

En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées.

En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe.

En 1615 et 1616 la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas. En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs.

En 1676 des canicules à nouveau. Les mêmes évènements se reproduisirent au XVIIIe siècle.

En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre. Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur (45 degrés C) à Paris.

En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes.

En 1746 L’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie.

En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives.

En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.

En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C.

En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.

En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.

En 1835 la Seine était presque à sec.

En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année, le thermomètre afficha 34 degrés.

Les années 1893, 1895, 1899, 1900, 1901, 1904, 1906 ont eu toutes des étés très chauds.

En 1900, Le mois de juillet est le plus chaud à Paris depuis 1859. Longue période de fortes chaleurs avec des températures atteignant 40 degrés à Châteaudun. Paris manque d’eau.

Londres : on relève des cas d’insolation. En octobre, nouvel épisode de chaleur exceptionnelle.

En 1911, les 3 mois d’été sont si chauds en France qu’il y a eu 40.000 morts dus à cette canicule (personnes âgées et enfants).

En 1921, la sécheresse a commencé à l’automne 1920. En janvier 2021 on trouve des températures de 19,4° Bordeaux, 16,5 à Châteauroux et cela s’est aggravé en février. En juin la sécheresse devient dramatique, le mois le plus sec depuis 1810 avec une vague de chaleur exceptionnelle, suivi d’un été caniculaire, prés et parcs grillés, les arbres perdent leurs feuilles. Du 22 mai au 11 juillet, il ne tombe que 2 m/ms d’eau ! Le 13 juillet record battu avec 44,8° à Bourg, 40 à 42° à Vesoul, Besançon, Albertville, Moulins...En Europe, la chaleur et la sécheresse sont la cause de la fonte de glaciers et de grands incendies. Les légumes ont presque disparu. Octobre est le plus chaud depuis 1757 avec des températures de plus de 30°et même 36° à dans les Basses Pyrénées. Le beau temps dominera jusqu’à Noël. 270 m/ms d’eau cette année contre 625 en moyenne, 2314 h de soleil contre 1650 h en moyenne.

En 1923 : Deux coups de chaleur pendant l’été 1923 avec des maxima supérieurs à 42 voire 43 °C sur un large sud-ouest. Cette année-là, on relève une valeur de 44°C à Toulouse mais cette valeur ne peut pas être vraiment homologuée.

En 1934, En France, vague de chaleur torride et sécheresse au printemps et en été. Mi-avril, la température atteint près de 30° mi-septembre, 36° à Clermont-Ferrand. En décembre, la température moyenne est supérieure de 5° à la normale. Tous les pays du monde sont touchés. Aux USA 3 millions d’habitants ont déménagé pour des régions moins chaudes. Nombreux décès en Chine. Australie une majorité des forêts détruites. Au Japon, 4000 morts dans un typhon qui suit la sécheresse. Morts de 10 millions de moutons en Afrique du Sud.

En 1947 : C’est un des étés du siècle des plus chauds : après un hiver très rigoureux, l’été commence en avril et se poursuit jusqu’en octobre. Les températures battent tous les records en toute région (T>40 °C) on relève même 40,4 °C à Paris. Les températures dépassent les 40°C au sud de la seine et même plus de 42°C sur l’Aquitaine.

En 1959, Remarquablement sec et chaud sur la moitié Nord, de mars à octobre, un mois de juillet avec des températures de 30° à 37° et même des 27,7° le 22 septembre à Tours et entre le 1er et 5 octobre allant de 25,3° à Brest, St Quentin, Alençon, Tours à 27° à Rouen.

En 1976, Le déficit hydrique débute en octobre 1975. La France connaît une sécheresse et une intense chaleur comme elle n’en a pas connu depuis 1921 avec un déficit d’eau de 46%. Le mois de juin, à lui seul, est le plus chaud enregistré depuis 1873. Des chauffeurs de bus à Paris font grève avec 50 à 60° dans leur véhicule ! La situation est particulièrement dramatique pour les agriculteurs. Comme le rapporte un reportage de TF1 de l'époque, "voilà près de trois mois qu'il n'a pas plu sur une bande de territoire qui va de la Bretagne à la Lorraine, en passant par le bassin parisien". Dans ces régions tant touchées par la sécheresse, l'armée se mobilise pour apporter du fourrage et de la paille et nourrir le bétail. Le gouvernement versera finalement une aide de 2,2 milliards de francs aux agriculteurs, qui sera notamment financée par la création d'un "impôt sécheresse". La Meuse n’avait presque plus d’eau, des arbres meurent, ils avaient à peine eu leurs feuilles complètes.

En 1977, Des chaleurs peu communes du 04 février au 17 mars avec des températures à plus de 20°. 25,5° à Montpellier, 25,2°, à perpignan, 21° à St Etienne, 24,1° à Strasbourg, 22,2° à Bourges, 20,2° à Rennes, 21,2° à Paris...

En 2003, Cette canicule a suivi un printemps exceptionnellement chaud et sec où les températures atteignent à certains endroits déjà 30 °C fin avril. Cette canicule importante associée à une sécheresse record rappelle la vague de chaleur de l'été 1947 en Europe et la sécheresse de 1976.
Cette canicule a été à l'origine de 70.000 décès supplémentaires en Europe dont plus de 20 000 en France avant le mois d'août, mois pourtant le plus chaud de cette vague de chaleur.1

En 2011, le printemps se positionne depuis mars au 1er rang des printemps les plus chauds depuis le début du XXème siècle. La quantité d’eau n’était qu’à 45% de la normale. Des précipitations très faibles entre septembre 2010 et avril 2011 à l’exception du pourtour méditerranéen vague de chaleur torride et sécheresse au printemps et en été. Mi-avril, la température atteint près de 30°. Mi-septembre, 36° à Clermont-Ferrand. En décembre, la température moyenne est supérieure de 5° à la normale. Les nappes phréatiques sont à un niveau désespérément bas L’automne a continué avec de très faibles précipitations

En 2018, année la plus chaude jamais enregistrée en France depuis la création des mesures météorologiques de 1900. Moyenne annuelle de 14° C, 1,4° de plus que la référence de 1981-2010.

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Daniel Moinier a travaillé 11 années chez Pechiney International, 16 années en recrutement chez BIS en France et Belgique, puis 28 ans comme chasseur de têtes, dont 17 années à son compte, au sein de son Cabinet D.M.C. Il est aussi l'auteur de six ouvrages, dont "En finir avec ce chômage", "La Crise, une Chance pour la Croissance et le Pouvoir d'achat", "L'Europe et surtout la France, malades de leurs "Vieux"". Et le dernier “Pourquoi la France est en déficit depuis 1975, Analyse-Solutions” chez Edilivre.

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