Big Data, Cloud, IoT, digital…, autant de nouveaux termes dans notre vocabulaire depuis quelques années que de concepts de travail qui ont modifié de façon radicale le paysage informatique au sens large, et qui ne sont pas prêts de disparaître !
Et pourtant, malgré certaines adaptations, le métier profond de la DSI n’a pas radicalement changé. L’objectif principal reste toujours le même : délivrer une infrastructure robuste permettant de garantir une qualité de service de plus en plus élevée, dictée par les niveaux d’exigence croissants des clients/utilisateurs. En effet, comment faire face aux nouveaux défis dont la portée peut être largement inconnue et garantir un niveau de performance amélioré, ou tout du moins inchangé, pour l’utilisateur ?
Le maître mot : la qualité
La qualité, voilà un mot qui, lui, a tendance à être oublié, voire écarté, au profit de la quantité (performance, sécurité, course à l’équipement…). Toutefois, c’est bien de qualité dont il faut parler en priorité lorsque l’on évoque un projet informatique. Les « plats de nouilles », créés en empilant des couches, complexifiant les liens et reliant tout à n’importe quoi, obligent les organisations à multiplier le temps qu’elles vont devoir passer à comprendre leur infrastructure en perpétuel mouvement.
Bien penser les fondations
Comment régler un problème urgent si l’on n’a pas l’outillage nécessaire à l’investigation du problème source ? Le bon sens voudrait que ce soit la première strate de tout projet en devenir, mais l’on constate que c’est loin d’être la réalité dans de nombreuses organisations. L’énergie et le temps passés sont, avant tout, concentrés sur le résultat, sans penser d’abord aux moyens. Ce n’est qu’après avoir tout construit, avec peine, que l’on s’aperçoit qu’un maillon faible, sous-estimé, met en péril tout le bien fondé de l’architecture en place.
Pouvoir intervenir aisément
L’agilité, voilà un autre mot souvent oublié dans les projets d’infrastructure. Construire une infrastructure répondant aux enjeux du Big Data ou du Cloud nécessite des modifications permanentes car les enjeux métier changent en permanence. Or, la plupart des systèmes ne sont pas maîtrisés, et les changements impactant ne sont pas pris en compte immédiatement, ce qui crée régulièrement une perte de temps en investigation.
La supervision (intelligente), voilà le mot clé de tous ces projets
Seule une supervision efficace, pensée en amont des projets et adaptée aux évolutions incessantes des organisations peut garantir le succès de ces projets Big Data, Cloud, digitaux….très chronophages et consommateurs d’énergie et de budget. Ne laissez pas les enjeux à court terme vous masquer les priorités réelles. Ne passez pas à côté de la brique essentielle de vos projets : la supervision. Sans celle-ci, tous vos projets Big Data, Cloud… risquent fort d’être un échec.