Aujourd'hui, je vous propose quelques réflexions au-delà du réel ou presque. Pour ceux parmi vous qui ont le cœur bien accroché, vous pourrez aller sur le site du Telegraph de Londres qui a publié les photos du pauvre gamin rom retrouvé dans un Caddie après une séance de torture.
Oui ce gosse était connu « défavorablement » des services de police, comme l'on dit pudiquement de nos jours, et oui ce n'est pas un petit ange mais rien ne justifie une telle barbarie ni une telle sauvagerie et certainement pas quelques rapines aussi agaçantes ou révoltantes soient-elles.
N'imaginez pas qu'en disant cela je plaide pour une forme de laxisme. Loin de là. Au contraire même. Si la loi était appliquée, si les méchants et les vilains étaient sanctionnés pour ce qu'ils sont, à savoir des méchants et des vilains sans distinction de « race », « d'ethnie », « d'origine » ou encore de « nationalités », ce genre de choses n'arriverait pas dans notre pays.
Nous voyons ces images terribles parce que nous n'avons pas su faire collectivement en amont ce qu'il fallait faire pour que cela n'arrive pas. Cela commence par protéger les voleurs d'eux-mêmes en les empêchant de nuire aux autres.
Pourtant, elles arrivent. Elles arrivent et c'est encore plus grave et inquiétant pour notre nation sur fond de montée des tensions entre communautés. Dans ces cas-là, personne n'a raison, tout le monde à tort, car à l'arrivée tout le monde est perdant. Hélas aussi, dans ces cas-là, les modérés et la voix de la raison sont très rarement entendus. La sagesse est inaudible dans le fracas des batailles.
La situation est grave
La situation est grave et ce qui ne pourrait être qu'un fait divers aussi sordide soit-il est en réalité la matérialisation d'une tendance lourde. Nous avons dans ce pays un pacte. Nous, citoyens, déléguons à notre État notre sécurité et notre justice. En échange, nous payons des impôts. Le problème c'est qu'il n'y a plus de sécurité pour tous mais de l'insécurité pour chacun.
Le problème c'est qu'en stérilisant les mots, nous stérilisons la pensée, en s'interdisant les constats, on s'interdit les solutions adaptées et mesurées.
Il ne reste donc de la place qu'à la montée des tensions, des rancœurs, des haines. Nous savons tous où les schémas de ce type conduisent les nations. L'histoire en regorge, les fins sont rarement heureuses.
Nous avons donc à faire face à une situation sociale explosive dans un contexte économique catastrophique. Lorsque vous additionnez nos fragilités sociales et nos fragilités financières, vous ne pouvez qu'arriver à la conclusion que nous dansons sur un volcan.
Ce volcan va exploser. Nous pouvons le déplorer, et c'est mon cas, car c'est avec une infinie tristesse que j'écris ces lignes. Pourtant, déplorer les choses ne changera rien. Je vous invite simplement à vous préparer individuellement à affronter une période que vous n'auriez jamais cru possible.
Collectivement, hélas, nous ne pourrons pas arrêter ce qui vient. Nous ne le pourrons pas car nous ne ferons rien de ce qu'il faudrait faire. Cela fait 7 ans que la crise des subprimes a balayé le monde et pourtant nous n'avons rien fait à part plus de dettes et plus de déficits. Nous n'avons rien fait de ce qu'il fallait faire.
Ce monde va se fracasser sur la dure réalité. C'est à cela qu'il faut vous préparer.
Ce monde va se fracasser parce que les deux piliers sur lesquels il repose sont en train de céder sous vos yeux. Le premier est le pilier économique, tout le monde l'aura compris. Le deuxième est évidemment le pilier social et il n'est pas en meilleur état. Les deux sont liés, intimement, et les deux tiennent l'ensemble de notre édifice commun, édifice dans lequel et par lequel nous vivons tous là encore sans aucune distinction.
Plutôt que de choisir ensemble un destin commun en avançant sur ce qui nous rassemble, nous avons préféré manifestement prendre le chemin de l'autodestruction. Plus rien désormais ne semble pouvoir enrayer ces pulsions de destruction.
Une vidéo à voir !
Mes sources d'informations sont très diverses, et en bon contrarien j'aime aller aux limites. Si François Mitterrand et bien d'autres consultaient régulièrement des voyants, pourquoi pas vous ?
C'est pourquoi aujourd'hui je souhaitais partager cette vidéo avec vous. Il s'agit de Maud Kristen et de sa vidéo d'alerte qui date du 18 juin... sacrée date !
Il y a ce qu'elle peut dire et ce qu'elle ne peut pas dire mais je pense que vous saurez entendre entre les lignes. Je voulais vous faire connaître cette vidéo car ce qu'elle explique correspond aux conclusions auxquelles je suis arrivé depuis bien longtemps par d'autres moyens. Par des « méthodes » différentes, les constats sont identiques.
Comprenez-moi bien, l'idée ici n'est pas de vous « vendre » de l'or ! J'espère que vous avez compris l'intérêt du métal jaune comme assurance patrimoniale sinon je ne peux de toutes les façons rien pour vous. Non l'idée ici c'est de vous dire justement que se préparer ce n'est pas avoir que de l'or. Acheter de l'or c'est, disons-le, la partie facile (même si c'est indispensable lorsque l'on a 4 sous à protéger).
La partie difficile c'est changer de vie, de cadre tant que vous en avez encore le temps et c'est cette prise de conscience-là et cette décision-là qui va être pour chacun d'entre nous particulièrement difficile.
Pour vous dire le fond de ma pensée, une crise économique aussi violente soit-elle, cela se « gère », en tout cas vous avez des allocations de patrimoines possibles et vous n'êtes pas sans moyens d'action, et puis disons-le aussi, perdre de l'argent ce n'est pas agréable mais ce n'est pas grave non plus ! Il n'y a pas mort d'homme. En clair, on peut échapper en partie à une grande crise économique, on peut même dans certains cas s'enrichir et quand bien même on perd, on se relève et on repart, ce n'est pas la fin du monde (message optimiste).
Dans une crise sociale et sociétale qui a une probabilité de plus en plus forte de nous conduire à une forme épouvantable de guerre civile, il y a évidemment le risque de ne pas se relever...
Je vous laisse donc maintenant avec Maud Kristen, voyante. Peut-être qu'avec ses mots elle saura mieux vous dire que moi qu'il est temps d'agir pour se prémunir. Son discours est le même et pourtant elle ne semble pas connaître notre célèbre PEBC (plan épargne boites de conserve)
Préparez-vous et restez à l'écoute.
À demain... si vous le voulez bien !!