Ecotaxe : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

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Par Laurent Hunault Modifié le 21 novembre 2013 à 6h28

Et si l’on prenait modèle sur les Belges "une fois" ! Eux qui ont de belles routes bien éclairées. Et nous pourrions en finir avec cette affaire d'écotaxe. Une mise en bière quoi (rire belge).

La grande ligne c'est que chaque transporteur routier étranger qui utilise notre réseau routier pour traverser notre pays doit contribuer à la restauration de ce réseau routier.

Ne suffirait-il pas, pour emprunter le réseau français autre que les autoroutes, de mettre en place une taxe du style de l’Eurovignette comme en Belgique et de demander à ceux des transporteurs immatriculés à l'étranger de régler cette taxe, dès qu'il arrive sur le territoire français. Elle pourrait être modulable à souhait en fonction des véhicules. Elle s'appliquerait comme ce modèle belge et pourrait rapporter 400 millions d'euros.

De plus, dans le cadre d'une négociation qui permettrait de négocier les pénalités dues par l'état français à Ecomouv, les salariés de cette société pourraient être employés à récolter la taxe sur les camions étrangers. Les portiques pourraient servir à contrôler les récalcitrants.

Aujourd’hui quelques contribuables grognassent contre ce RAS LE BOL fiscal !

Voilà peut être le système qui aurait dû être mis en place dès le départ. Mais à vouloir trop tirer sur la ficelle, elle finit par casser !

Une question à l’ensemble de nos politiques : Mais où vont tous les impôts que nous payons ? Plus nous en payons, moins il y a d’argent en France ! Il en faut toujours plus !

Mais attendez que le peuple, toutes classes sociales confondues, commence à s’apercevoir réellement pourquoi ils paient de plus en plus d’impôts, de taxes !

Attendez qu’il s’aperçoive réellement que c’est vos privilèges, vos avantages, votre train de vie, avec le surnombre de grands élus qui génèrent en partie de plus en plus de taxes, d’impôts… !

Alors à vous les élus, vous les élites, vous qui préparez les lois, vous qui votez les taxes, attendez que le peuple ouvre réellement les yeux et vous verrez… !

Attendez qu’il ouvre les yeux et qu’il constate que vous pouvez dépenser les deniers publics sans fournir aucun justificatif… ! Attentez qu’il s’aperçoive qu’au lieu de réduire les postes vous les augmentez comme s’il n’y en avait pas assez… Exemple du redécoupage des cantons pour la Vendée 34 conseillers au lieu de 31 aujourd’hui ! Qui va payer  ?

Méfiez-vous que la misère croissante ne se fasse pas entendre à son tour… !

Cela pourrait être beaucoup plus fort !

Vous ne voulez pas entendre le peuple… ! Cela finira mal… !

Nous le peuple nous aimons "notre pays" ! Pas comme certains d'entre-vous qui osent dire : "Ce pays"

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Alors qu'il a 16 ans il est victime d'un accident de la route qui le laisse gravement handicapé. Obligé d'abandonner les études techniques d'expert comptable qu'il suivait, il suit des cours du soir.Il entre dans l'administration en 1980. Muté à Lille il passe avec succès le concours de rédacteur. Il est chargé de la gestion des personnels vacataires : médecins, techniciens de surface évoluant pour le conseil général (Protection maternelle et infantile).En 2000 il souhaite aborder d'autres horizons et demande à s'occuper des subventions allouées aux associations de personnes âgées ou handicapées. Ce nouveau poste lui donne la possibilité de rencontrer bon nombre de situations et de personnes qui solliciteront ses compétences comptables et rédactionnelles. C'est là , en effet, qu'il rédige des écrits techniques appuyés par des rapports financiers à l'attention des élus du département du Nord. Comptes rendu que les responsables politiques utilisent pour prendre des décisions dans le cadre de leurs compétences administratives et les limites de leurs budgets pour favoriser, voire pérenniser, les association du département.En 2012 il choisit de quitter l'administration pour ouvrir un cabinet d'écrivain public.

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