Dans un communiqué, L'Institut de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA) rappelle que les efforts en matière d'amélioration de la qualité de l'eau ne pourront avancer que si les agriculteurs s'approprient cette question. C'est lorsque les agriculteurs s'engagent que les chercheurs peuvent intervenir pour leur indiquer les moyens d'atteindre des objectifs ambitieux.
L'Institut de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA) a été mis à contribution pour travailler à l'amélioration de la qualité de l'eau en France. Dans ce domaine, cet institut public estime que « pour restaurer les eaux de surface contaminées par les pollutions diffuses d'origine agricole, il est nécessaire d'adopter des pratiques agricoles phytosanitaires plus respectueuses de l'environnement. »
En France, plusieurs types de mesures cadres ont été prises avec notamment les mesures Agro-Environnementale (MAE) devenues Territorialisées (MAET).
Permettre l'engagement des agriculteurs
Par communiqué, l'IRSTEA rappelle que ce genre de mesures ne peuvent pas être mises en pratique de manière durable et efficace sans le concours des agriculteurs. En s'engageant sur des dynamiques spécifiques, les professionnels font évoluer les pratiques.
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