En 2017 moins de la moitié des voitures vendues fonctionnaient au moteur diesel. C’est la première fois depuis 2000 que ces moteurs sont en infériorité. Les mesures annoncées par le gouvernement de remise en question de la fiscalité avantageuse pour le diesel y sont pour quelque chose.
En 2017, les voitures des particuliers immatriculées qui fonctionnent au diesel représentaient 47,3% du total. C’est la première fois depuis 2000 que le diesel est en minorité. Ces chiffres du Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) sont de bon augure. Serait-ce le début de la fin pour ce carburant plus polluant ?
« A son apogée, en 2012, le diesel représentait encore les trois quarts du marché automobile français, mais ce type de motorisation subit ces dernières années une lente érosion, détaille l’AFP. En 2016, la part du diesel était encore d’un peu plus de 52%, selon les données du CCFA. Les motorisations essence ont pour leur part rassemblé environ 47,6% des véhicules mis sur le marché, toujours sur douze mois cumulés.
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