En 2015, d’après l’Agence France Trésor qui est une source très complotiste que je vais me permettre tout de même de citer et sur laquelle je vous propose modestement (et ironiquement bien évidemment) de reposer les réflexions suivantes.
N’oubliez tout de même pas au passage, que si vous voulez: « voir par vous-même, rechercher par vous-même, vérifier par vous-même, ou encore penser par vous-même », vous ne faîtes pas preuve de l’esprit critique que nos maîtres d’hier (je parle de nos professeurs) ont essayé de nous enseigner, mais de « complotisme ». Sic transit gloria mundi. « Ainsi passe la gloire du monde » comme me l’a appris mon professeur de latin.
Alors après cette petite remarque « perfide » à l’égard de tous les mous, les peureux, les bien-pensants, les obéissants et les perroquets zélés des médias qui ont débranché leurs cerveaux par confort immédiat, étudions le dernier bulletin de l’Agence France Trésor que vous pouvez télécharger en cliquant sur le lien juste là: 373_Bulletin mensuel juin 2021
Les étrangers ne veulent plus de notre dette !
Remarquez je les comprends, je ne prêterais pas un seul de mes kopecks à cet Etat épouvantable qu’est devenu l’Etat français, aussi autoritaire que dispendieux, pour un service rendu de plus en plus pitoyable.
Comme je vous le disais, nous exportons nos chênes en Chine mais nous gardons bien les glands à qui l’on donne un peu trop de responsabilités ces dernières décennies.
Le premier graphique vous montre que en 2015 61.9 % de la dette française étaient détenus par des étrangers.
En 2021, ce n’est plus que 49.8 %. Même plus la moitié.
Le second tableau vous montre que 25.30 % de la dette sont détenus par « Autres (français) ». A priori, il s’agit essentiellement de la Banque de France à travers les rachats de dettes publiques qui sont réalisés officiellement par la BCE, mais dans les faits, par chaque banques centrales nationales qui font parties du SEBC qui est le système européen des banques centrales.
Vous pouvez retenir, que plus personne y-en a vouloir dette française.
C’est pas une bonne nouvelle, mais je ne suis pas étonné.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !