Avant de vous parler du JT de la semaine, je voulais souhaiter un joyeux anniversaire, relativement taquin et un tantinet insolent ne le cachons pas, à notre ancienne ministresse de la santé, Agnes Buzyn qui est allée désormais se faire rémunérer par l’OMS, l’Organisation Mondiale de la Santé.
Il y a donc un an, une année qui nous semble à tous une éternité, Agnès Buzyn nous expliquait doctement que les risques que le virus viennent de Wuhan était désormais proche de zéro.
Je dois vous dire qu’à chaque fois ce film me fait rire, un peu comme quand je regarde pour la 777ème fois la 7ème compagnie…
Voilà ce que disait Buzyn donc le 24 janvier.
Il y a un an pile, le 24 janvier 2020, la ministre de la santé Agnès #Buzyn déclarait : « Le risque d’importation depuis Wuhan est quasi nul, le risque de propagation du #coronavirus dans la population est très faible..» La suite on la connaît..?pic.twitter.com/DWYXrzkUMq
— Cohérence (@coherence_e) January 24, 2021
Voici ce que moi je disais… le 27 janvier ! Il faut dire que je ne suis pas ministre, et que mes chats qui sont mes conseillers du grenier non plus.
Leur dette, votre problème !
Revenons-en à nos moutons après cette séquence nostalgie !
Qui va payer les dettes nouvelles ?
Vous, et vos enfants, mais certainement pas les arrière-petits-enfants ! Il faudra payer avant !!
« Ils » décident de fermer les commerces non-essentiels. Il faut indemniser, forcément jamais assez ! Cela coûte un « pognon de dingue » à la collectivité, et pourtant ceux qui sont fermés y laissent trop de plumes.
Nous payons tout cela avec de l’argent que nous n’avons pas, et que nous n’aurons sans doute jamais, et nous hypothéquons grandement l’avenir collectif. S’il était normal en mars au premier confinement d’être pris au dépourvu, ou en tous les cas compréhensible, c’est nettement moins le cas aujourd’hui. Pourtant, il n’y a aucun débat sérieux sur les décisions prises, les coûts que cela entraîne, et évidemment la question essentielle, qui va payer ?
Quelques éléments de réponse dans ce JT du grenier à partager!
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !