Tous les gouvernements qui se sont succédés ont tablé leur budget sur des prévisions de croissance qui ne sont jamais réalisés. Dans ce contexte, le déficit, et donc la dette publique, ne peuvent que se creuser.
Pire, nos gouvernants reportent les réformes nécessaires au retour de la croissance sous le prétexte que la croissance n'est pas au rendez-vous.
Mais la croissance ne peut donc pas être au rendez-vous.
Ce gouvernement en particulier ne fait pas mieux que les autres, et c'est un euphémisme...
Même les critères Maastricht, qui conditionnaient l'entrée et l'appartenance à la zone euro, ont été bâti sur une hypothèse de croissance économique de 2 %. On en est très loin...