L’argent et le couple. Pas facile de concilier les deux surtout en période de crise. D’après une étude réalisée par Yougov pour 20 Minutes, plus de 50 % des Français seraient favorables à la mise en commun de leur patrimoine et de leur épargne au sein du couple.
Ce n’est pas pour autant que l’argent n’est pas source de discorde au sein du couple !
50 % des Français pour le partage de l'argent dans le couple
D’après un sondage réalisé par Yougov pour le quotidien gratuit 20 Minutes, plus de 50 % des Français seraient favorables à une mise en commun de l’épargne et du patrimoine au sein du couple, avec leur conjoint. Pour autant, une même proportion reconnait que l’argent a déjà été un motif de dispute entre les deux conjoints. Attention sujet sensible !
L'apport de chacun s'équilibre naturellement dans le couple pour 50 % des sondés
Certes il faut faire les comptes, mais tout n’est pas une question de chiffres ! La confiance peut également rentrer en ligne de compte, qui plus est dans un couple ! Ainsi, d’après cette étude, 50 % des personnes interrogées déclarent que le montant de la part de chacun des membres du couple, pour les dépenses courantes, n’a pas besoin d’être définie, et que les choses s’équilibrent naturellement. C’est beau l’amour !
36 % des Français veulent un espace de liberté financière dans leur couple
Mais, d’un point de vue pratique, comment organiser la vie financière d’un couple ? Pour 25,9 % des sondés, le compte joint, pour les dépenses quotidiennes, serait la solution la plus souhaitable. Cependant, pour 35,8 % des personnes interrogées, le compte bancaire personnel est le meilleur moyen de garder un espace de liberté personnelle.
L'argent, cause de rupture pour 3,4 % des personnes interrogées
Enfin, quoi qu’on fasse du point de vue de l’organisation, l’argent ne rime pas toujours avec harmonie dans un couple. Alors que 50 % reconnaissent qu’il peut être une cause de dispute. Des disputes sans importance pour 25 % d’entre eux, assez importantes pour 11,6 % des sondés, voire très importantes pour 4,7 % des personnes interrogées. A noter enfin que 3,4 % admettent qu’il peut même être cause de rupture.