La France, le Royaume-Uni et les autres pays européens qui y réfléchissent ou ont déjà lancé la transformation de leur parc automobile vers le 100 % électrique semblent faire des émules : le pays le plus peuplé du monde étudierait la question aussi : la fin des voitures Diesel et essence. CE pays c’est le plus polluant au monde : la Chine.
Rien n’est décidé mais la Chine y réfléchit sérieusement
Ce n’es tpas qu’une rumeur de couloir : la fin de la commercialisation des véhicules Diesel et essence en Chine pourrait bien être décidée dans les années à venir. Pour l’instant, sans surprise, il n’y a aucune décision de prise.
C’est toutefois le gouvernement qui l’annonce dans un article publié par l’agence de presse officielle chinoise Xinhua. Le ministre de l’Industrie, Xin Guobin, annonce qu’il va déposer un calendrier pour la fin de la vente des voitures traditionnelles auprès de ses collègues. La question est donc loin d’être tranchée, aucune date limite n’est fixée et la nouvelle réglementation ne sera pas adoptée avant des années. Mais l’idée est bien là et c’est ce qui fait toute la différence.
Un changement radical pour l’industrie automobile
Les constructeurs automobiles vont devoir anticiper ce changement : la Chine pèse très lourd sur le marché automobiles. Heureusement, tous les constructeurs ont dans leurs projets pour l’avenir une gamme électrique.
Car la demande s’annonce forte dans le pays asiatique : le but déjà affiché par le gouvernement est de 7 millions de voitures électriques vendues chaque année dès 2025. Lorsque la vente des voitures classiques sera totalement interdite, ce nombre ne fera qu’exploser.
Ce sera le cas en France ou au Royaume-Uni également : les deux pays ont fixé à 2040 l’interdiction de vendre, sur leur territoire, des voitures essence ou Diesel.