Voici le discours officiel : il faut éliminer le diesel, dangereux pour la santé parce qu’il émet des particules fines. Archi-faux !
C’était peut-être vrai, voici quelques années, mais les diesels actuels sont équipés de filtres qui piègent ces particules fines à hauteur de 99,9 %, c’est-à-dire qu’ils n’en rejettent quasiment plus du tout. Alors, pourquoi ce mensonge éhonté destiné à nous culpabiliser pour nous inciter à rouler tous à l’essence ? C’est très simple.
Prenons deux automobilistes parcourant 15000 km par an. L’un possède un véhicule essence (consommation 8,5 litres aux 100 km), l’autre possède le même modèle du même constructeur équipé d’un moteur diesel équivalent en puissance (consommation 5,8 litres aux 100 km).
1er cas : consommation annuelle : 1 275 litres, taxés à 0,86 euros = 1096,50 euros.
2e cas : consommation annuelle : 870 litres, taxés à 0,66 euros = 574,20 euros. Soit 522,30 euros de différence.
Avec un parc automobile de 38 millions de véhicules, il est facile de calculer que la disparition programmée du diesel (représentant environ 60 % des motorisations actuelles) permettrait à terme un "racket fiscal" supplémentaire de plus de 11 milliards d’euros par an. Il ne faut pas chercher ailleurs la véritable raison de la volonté gouvernementale de tuer le moteur à gazole.
Alors, si vous en avez marre qu'on vous prenne pour des imbéciles et de vous faire plumer au seul bénéfice financier de nos gouvernants, réagissez ! Et si voulez faire suivre cette information, si elle vous parait pertinente bien sûr, alors transmettez autour de vous !