C'est un des scandales de la République, dénoncé comme tel, à plusieurs reprises, par la Cour des Comptes : celui de la tarification des autoroutes, que chacun, au moment des départs en vacances, expérimente à son détriment. Une sorte de racket légal qui se fait avec l'assentiment de l'État.
C'est que l'État est responsable de la vente en 2005 de ces bijoux de famille. Toutes les familles politiques sont concernées : c'est Dominique de Villepin qui parachève la privatisation engagée, en 2002, par la gauche sous Lionel Jospin. Et c'est Jean-Louis Borloo, ministre de l'Écologie et des Transports, qui prolonge la concession des sociétés d'autoroutes, avec un pauvre alibi écologique, un programme de "verdissement des autoroutes" !
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