Dans une chronique à ce sujet, l’ONG Amnesty International se penche en profondeur sur la finance éthique et les pistes à explorer pour les entreprises. Ils montrent comment petit à petit les mentalités évoluent avec de solides retombées sociales et solidaires.
Ce message du gouvernement commence à convaincre les ONG : la finance n’est pas le problème c’est la solution. Alors que, en faisant tout de même attention aux clichés, les milieux associatifs et militants écologistes sont traditionnellement plutôt antilibéraux et parfois anticapitaliste, la position d’Emmanuel Macron commence à séduire.
Deux pistes semblent suffisamment vertueuses pour convaincre Amnesty International. « D’une part la finance solidaire, qui vise à investir dans des entreprises, des associations ou des sociétés coopératives à forte utilité sociale ou environnementale. D’autre part les fonds ISR, pour « investissement socialement responsable », qui recherchent en premier lieu la rentabilité tout en s’assurant que leurs placements intègrent des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) » lit-on dans un long article publié par l’ONG sur son site.
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