L’agro-écologie est le concept que le gouvernement veut imposer au secteur primaire pour révolutionner les pratiques. Si d’un côté les industriels qui fabriquent des engrais font la moue, de l’autre les entreprises engagées dans des solutions naturelles jubilent.
Les industriels qui développent des engrais et autres solutions chimiques pour l’agriculture s’inquiètent des récentes positions du gouvernement. Selon eux, la transition vers le bio ou l’écologique se fait trop rapidement. Ces géants de l’agriculture s’inquiètent alors que de l’autre, les entreprises engagées dans de fertilisants et solutions agricoles naturelles se frottent les mains. « Il y a dix-huit ans, nous étions pris pour des vendeurs de poudre de perlimpinpin. Aujourd'hui, nous sommes reconnus par les professionnels, les institutions et surtout nos clients » explique à Ouest France, la direction de l’entreprise bretonne Bio3G.
Signe d’une véritable révolution verte dans le secteur primaire, cette entreprise a connu une croissance phénoménale depuis sa création pour atteindre un chiffre d’affaires de 35 millions d’euros en 2014. « L'entreprise est passée de 10 à 287 salariés en dix-huit ans. Et une centaine de recrutements sont programmés sur trois ans. Le transfert est prévu en fin d'année » rapporte le quotidien régional.
Lire la suite sur RSE Magazine