L’Accord de Paris n’était pas une fin en soi mais une simple étape. C’est en substance ce qu’a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies. Ban Ki-moon a affirmé qu’après la signature à New York par 175 pays il fallait « accélérer ka vitesse, l’ampleur et l’étendue » de la réponse face aux problématiques climatiques.
« Nous devons accélérer la vitesse, l'ampleur et l'étendue de notre réponse, au niveau local et au niveau mondial » a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, à l’occasion de du Sommet d’action sur le climat 2016 à Washington le 5 mai. « Deux semaines après la signature historique de l'Accord de Paris sur le climat par 175 pays à New York, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a estimé jeudi qu'il était temps de passer à la prochaine étape en matière d'action climatique » résume le communiqué de presse de l’ONU.
Accentuer la collaboration
Les difficultés ont été nombreuses pour arriver à l’Accord de Paris qui a été jugé insuffisant par une large partie des militants écologistes. Signe que la collaboration dans le domaine est un défi de taille. « Aucun secteur de la société, aucun pays ne peut réussir seul. Je vous encourage à collaborer, à innover, à investir. Ensemble nous pouvons construire le monde que nous voulons » a affirmé Ban Ki-moon.
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