Fondé en 2012 par Harold Parisot, un visionnaire diplômé de l’ESSEC avec une passion pour l’immobilier de prestige, le Chinese Business Club (CBC) s’est imposé comme un réseau d’affaires incontournable. Initialement conçu pour stimuler les opportunités économiques entre la France et la Chine, le CBC a évolué pour devenir un rendez-vous prestigieux où se rencontrent entrepreneurs, investisseurs, hommes politiques, diplomates, et journalistes.
Comment le Chinese Business Club est devenu un pilier du networking
Les déjeuners d’affaires : la formule gagnante du Chinese Business Club
Le Chinese Business Club se distingue par son approche unique du networking. Avec ses déjeuners d'affaires mensuels organisés dans les lieux les plus prestigieux de Paris, il offre un cadre convivial et exclusif pour des échanges de haute volée. Harold Parisot, son fondateur, a réussi le pari de créer un espace où la qualité des rencontres prime, attirant des personnalités de renom telles que Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron, ou encore des dirigeants de grandes entreprises comme L'Oréal et Total.
Emmanuel Macron, alors qu’il était encore ministre de l’Economie, a joué un rôle majeur dans la consécration du Chinese Business Club après avoir accepté une invitation d’Harold Parisot. « Le 15 juin 2015 marque une date cruciale dans l’histoire du Chinese Business Club, car elle a marqué un tournant majeur. C’est à cette date que j’ai réussi à inviter Emmanuel Macron, qui était alors ministre de l’Economie. À l’époque, je ne le connaissais pas, et j’ai pris l’initiative de contacter le standard de Bercy. C’était vraiment une démarche audacieuse », explique Harold Parisot dans un entretien accordé au site Planète Grandes écoles. Et parmi les autres personnalités reçues par le Chinese Business Club, on trouve des noms bien connus des français : Alexandra Lamy, Marlène Schiappa, Laurent Dassault… ou encore Tony Parker, invité d’honneur le 2 février 2024.
Harold Parisot se tient au centre du Chinese Business Club
Harold Parisot, au cœur de ce réseau, joue un rôle majeur dans l'animation et le développement du CBC. Son expertise dans l'immobilier de luxe et sa compréhension des enjeux économiques franco-chinois lui permettent de cibler et d'attirer des membres dont l'influence et la volonté de développer des projets communs sont fortes.
Sous sa direction, le club a su s'adapter aux évolutions économiques et politiques, passant d'un focus initial sur les relations franco-chinoises à une plateforme plus large, englobant des membres de divers horizons. « Le contexte de la pandémie de Covid-19 a également influencé notre orientation, passant d’un club centré sur les relations franco-chinoises à un club à prédominance franco-française, avec 90 % de membres français », explique le fondateur du CBC. Ce dernier rajoute : « Étant moi-même jeune business angel actif, je tiens vivement à inviter des start-up prometteuses. C’est une évolution naturelle pour le Chinese Business Club, car la French Tech est devenue un acteur incontournable de l’économie française. »
Le retour de la Chine au centre du CBC pour bientôt ?
Le succès du Chinese Business Club réside initialement dans son impact sur les relations économiques et culturelles entre la France et la Chine. Le club a contribué à de nombreuses initiatives et projets bilatéraux. Il a également permis à ses membres de s'immerger dans les cultures d'affaires respectives, favorisant les collaborations.
Si la Chine est désormais secondaire, le nom du club n’a pas changé. Une décision assumée par Harold Parisot : « C’est une décision stratégique de ne pas changer le branding du Chinese Business Club, car je pense que cela serait une erreur. Pour le moment, il n’y a pas de concurrent, et même si les Chinois ne sont plus aussi présents dans le club qu’auparavant, cela ne signifie pas qu’ils ne reviendront pas à l’avenir ».