La Bourse de Paris brise de nouveaux records. Le 27 mars 2024, l’indice CAC 40 s’est hissé à des niveaux jamais vus.
CAC 40 : et c’est reparti pour battre des records !
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Last modified on 28 mars 2024 10h36
36 %Florentaise attire aussi l'attention avec un bond de 36%, suite à l'approbation d'un biostimulant innovant.
CAC 40 : l'attente de l'indice PCE
Le 27 mars 2024, la Bourse de Paris a affiché une légère hausse de 0,25%, atteignant des niveaux jamais vus. L'indice CAC 40, en grimpant de 20,06 points, a marqué un nouveau record à 8 204,81 points. Au cours de la séance, il a même flirté avec le seuil des 8 230,38 points, démontrant la dynamique positive qui anime les marchés. Le 26 mars 2024, la Bourse de Paris a même gagné 0,4 %.
La publication imminente des indicateurs d'inflation pour mars 2024, tant dans la zone euro qu'aux États-Unis, garde les marchés en haleine. Les données les plus attendues, notamment l'indice PCE, l'indicateur d'inflation privilégié de la Fed, ne seront révélées que le 29 mars 2024. Ce jour-là, la plupart des places boursières mondiales resteront closes, en raison du week-end prolongé de Pâques, ajoutant un suspense particulier à l'attente des investisseurs.
H&M en Suède s'envole
Alors que le CAC 40 poursuit sa quête de records, les volumes d'échange restent faibles et la volatilité, étonnamment modérée. L'attention se porte spécialement sur l'intervention de Christopher Waller de la Réserve fédérale américaine, les investisseurs cherchant à déchiffrer les futurs mouvements de la Fed. Dans cette atmosphère, le marché demeure prudent, guettant chaque indice susceptible de préciser l'évolution de la conjoncture économique.
Sur le front des valeurs, l'animation vient principalement de l'étranger, avec H&M en Suède qui s'envole après d'excellents résultats trimestriels (+12%). Florentaise, spécialiste des terreaux, attire aussi l'attention avec un bond de 36%, suite à l'approbation d'un biostimulant innovant. Pendant ce temps, l'euro maintient sa position face au dollar et le prix du pétrole fléchit. Le contrat de mai sur le Brent de mer du Nord diminue de 0,4%, s'établissant à 85,27 dollars le baril. De son côté, le WTI américain perd également 0,4%, pour atteindre 81,29 dollars le baril.