Vous pensiez que les billets d’avion étaient toujours hors de prix ? Que le train restait la meilleure option pour vos escapades printanières ? Détrompez-vous !
Bon plan : des billets d’avion jusqu’à deux fois moins chers qu’un aller-retour en TGV !

140 euros l’aller-retour pour Mykonos. Presque deux fois moins cher qu’un billet TGV pour Biarritz. Et non, ce n’est pas une blague.
Train ou avion : le bon plan n’est pas toujours celui qu’on croit
Quand on pense voyage abordable en avril, on imagine rarement l’archipel grec. Pourtant, l’offre est bien réelle. Pour 140 euros seulement, un aller-retour vers Mykonos est accessible via Transavia, filiale d’Air France. Autrement dit, pas une compagnie au rabais, mais une structure solide, fiable, avec des appareils récents, un confort standard et une ponctualité correcte.
Ce tarif défie toute concurrence, surtout lorsqu'on le compare à certains trajets nationaux en TGV. Un aller-retour Paris–Biarritz peut grimper jusqu’à 240 euros. C’est l’exemple concret d’une comparaison de prix qui donne le vertige. Mykonos pour 100 euros de moins qu’une virée à la plage basque ? Voilà une opportunité de déplacement à ne pas rater.
L’intérêt économique de partir en avril ne date pas d’hier. Déjà en mars-avril 2024, des offres similaires circulaient pour des destinations ensoleillées. Mais certaines opportunités tarifaires résistent au temps. Avril reste un mois stratégique : en dehors des vacances scolaires principales, les prix sont plus doux et les capacités d’accueil plus souples. Les compagnies aériennes comme Transavia jouent cette carte à fond, notamment pour remplir les avions hors saison haute.
Ajoutez à cela un coût de vie local allégé en Grèce, surtout avant la période estivale, et vous obtenez un combo gagnant : transport accessible, hébergement abordable, et dépaysement total.
Pourquoi le train coûte-t-il parfois plus cher que l’avion ?
C’est une question qui agace beaucoup de consommateurs. Comment expliquer qu’un trajet intérieur en TGV dépasse si souvent le prix d’un vol moyen-courrier ? Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte. D’abord, la concurrence : sur les lignes aériennes européennes, la présence de multiples transporteurs tire les prix vers le bas. Ensuite, les politiques de subvention varient fortement entre les modes de transport.
Mais il y a aussi une réalité tarifaire nationale : la SNCF applique un système de tarification dynamique où le prix peut flamber en fonction de la demande, parfois sans logique apparente pour l’usager.
Attention toutefois : ces tarifs ne sont pas automatiquement abordables à tous. Il faut généralement s’y prendre à l’avance, être flexible sur les dates, et de temps en temps partir depuis des aéroports secondaires. De plus, ces billets à prix plancher ne sont pas remboursables et incluent rarement les bagages en soute.
Cela dit, pour ceux qui peuvent en profiter, c’est une aubaine absolue. Le rapport qualité-prix est imbattable, d’autant que Mykonos en avril, c’est le charme sans la foule. Les plages sont vides, les restaurants accueillants, et l’ambiance locale authentique.