Au terme de « l’année de l’air », les institutions européennes veulent faire évoluer le dispositif d’encadrement des polluants atmosphériques. En ligne de mire, une diminution de moitié du nombre de morts à cause des particules fines.
Durant « l’année de l’air » décrétée par les instances européennes, la Commission s’est engagée dans une campagne de sensibilisation auprès des pouvoirs politiques des Etats. Elle espérait ainsi les convaincre de soutenir le projet de refonte de l’encadrement communautaire sur la qualité de l’air.
Deux directives ont été issues par l’Union en 2001 et 2008. La première, la National Emission Ceillings (NEC) fixait des plafonds nationaux d’émissions. La seconde abordait le problème de la qualité de l’air ambiant. Selon la Commission, l’évolution des concentrations de polluants atmosphériques et des connaissances sur les dangers des particules fines doivent pousser à émettre de nouvelles réglementations.
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