A la tête du ministère de l’Ecologie depuis un an, Ségolène Royal a imposé sa marque et prend indéniablement plus de place que ses prédécesseurs. Si les associations et acteurs du secteur lui sont plutôt favorables, certaines pilules ont toujours du mal à passer.
Il y a un an l’arrivée de Ségolène Royal au portefeuille de l’écologie avait fait sensation. C’était le signe que le nouveau gouvernement voulait mettre les problématiques environnementales au centre de ses priorités. L’exercice est pourtant ardu dans ce domaine où les consensus sont particulièrement difficiles à trouver. Sous pressions des écologistes et des associations, la ministre doit veiller à ne pas bousculer les industriels et les grands groupes de l’énergie.
Dans une dépêche consacrée à ce sujet, l’Agence France presse, revient sur les différents dossiers sur lesquels la ministre s’est positionnée mais surtout comment ses décisions ont été reçues.
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