Tout monte mes amis.
Depuis quelques mois bien sûr, mais surtout depuis des années, depuis même des décennies, puisque tout monte en gros depuis 20 ans.
Quoi que vous achetiez vous ne pouvez pas échouer.
Tout monte.
L’or, les actions, les obligations (nettement plus faiblement), les matières premières, le pétrole, les métaux, et l’immobilier. Tout monte.
Tout.
Il y a bien des grosses corrections.
Les marchés reçoivent bien quelques claques, comme celle de mars 2021 qui a été très violente, et pourtant un an après il n’en reste strictement plus rien.
Au contraire.
Tout est encore plus monté qu’avant.
Alors la question doit être posée.
Vivons-nous désormais dans un monde où les arbres peuvent grimper jusqu’au ciel et qu’est-ce qui justifierait un tel état de fait économique ?
Je vous livre dans cette vidéo du JT du grenier une piste de réflexion avec un exemple concret.
Vous avez sans doute vu que Wall-Street s’inquiète à nouveau des risques sanitaires.
Le vaccin ne marche pas et comme prévu dans la lettre Stratégies du mois d’août intitulée « 2022 échec de la vaccination », lorsque les marchés vont s’apercevoir que Pfizer et ses presque 100 % d’efficacité sont une escroquerie médicale et que le monde doit se reconfiner, ils risquent fort de réagir très mal.
Mais, les banques centrales seront là.
On fera encore du quoi qu’il en coûte.
On dépensera sans presque compter et l’on maintiendra la machine à flot… à moins que les autorités ne décident de couper l’herbe sous le pied des arbres et les empêcher de grimper jusqu’au ciel.
A mon sens, plus que jamais, c’est la politique monétaire des grandes zones économiques qui fait les valorisations des actifs. Seules les banques centrales peuvent défaire ce qu’elles font et elles ne peuvent pas revenir à une politique monétaire plus restrictive sans déclencher une insolvabilité généralisée et donc l’effondrement systémique et global.
Personne ne veut donc appuyer sur le bouton… Reset !
Alors, dans ce monde, les arbres monteront jusqu’au ciel, malgré tous les à-coups.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !