Dans le monde des extravagances des ultra-riches, voici une nouvelle qui va faire japper de jalousie tous les amoureux des animaux. Un couple de milliardaires a décidé de mettre la barre très haut pour le bien-être de leurs compagnons à quatre pattes.
100.000 euros de salaire pour ce dog-sitter d’excellence
Un salaire à faire pâlir d'envie les dog-sitters du monde
Imaginez un instant que vous êtes payé une fortune pour vous occuper de chiens. Oui, vous avez bien lu. Un couple de milliardaires américains, résidant à Londres, a décidé que leurs deux chiens méritaient le meilleur. Et quand on parle de meilleur, on parle d'un salaire annuel de 116.000 euros pour le dog-sitter de luxe qui aura la chance de s'occuper de ces deux boules de poils.
L'offre, publiée sur un réseau social professionnel, a fait saliver plus d'un candidat. Et pour cause, qui ne rêverait pas de gagner une telle somme pour s'occuper de chiens ? Mais attention, il ne s'agit pas de n'importe quels chiens. Ce sont les chiens d'un couple de milliardaires, et ils méritent le meilleur traitement, les meilleures balades et une attention permanente. Il faut savoir tendre l'oreille à leurs besoins!
Un déluge de candidatures pour un job de rêve
L'annonce a suscité un véritable raz de marée de candidatures. Encore fallait-il ne pas prendre le recruteur à rebrousse-poil. Plus de 400 personnes ont manifesté leur intérêt pour ce poste de dog-sitter hors norme. Le candidat retenu devra s'installer chez les propriétaires des chiens afin de pouvoir intervenir à n'importe quelle heure du jour et de la nuit en cas de besoin.
En termes de démesure, ce milliardaire américain a fait très fort. Mais après tout, quand on aime, on ne compte pas, n'est-ce pas ? Et quand on a les moyens de se le permettre, pourquoi ne pas offrir le meilleur à ses compagnons à quatre pattes ? Un brossage, une ballade, un peu d'attention, quadn on peut tout lui donner, pourquoi s'en priver? Après tout, l'amour des animaux n'a pas de prix. Le chien est et restera le meilleur ami de l'homme, il n'y a pas là l'once d'un débat.