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Gibraltar (34000 habitants)
Dans ce micro-état, la vaccination de la totalité de la population a été suivie d'une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 5 à 95).
Les Seychelles
sont un petit pays d'environ 100000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient été relativement épargnées par l'épidémie et ne comptaient, après 9 mois d'épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l'injection de près de 140.000 doses, le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70% et approche les 90% chez les adultes.
Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12466 cas confirmés (+2500%) et 42 morts (+4100%) et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu'avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi leur premier confinement.
Une poussée post vaccinale comparable a été observée sur l'ile de Man ou le nombre de cas a presque quadruplé dans les semaines qui ont suivi la vaccination
Et de pareilles évolutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays .
L'exemple très inquiétant de la Grande-Bretagne
Ce pays est partout cité comme exemple de l'efficacité de la vaccination par les médias et son gouvernement qui n'évoque jamais ni l'hécatombe post vaccinale précoce qui a suivi les vaccinations, ni les résultats globaux attestés par l'OMS et très peu la reprise actuelle de l'épidémie que la vaccination devait empêcher.
Examinons les faits, les chiffres officiels de l'OMS.
La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62% de la population. Mais, un mois après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l'épidémie.
Après cette hécatombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flattés du faible taux de contamination qui a suivi en même temps que l'épidémie régressait également en Europe (-85% depuis avril 2021) dans les pays vaccinés, comme dans les pays très peu vaccinés.
Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vaccinés, une augmentation des contaminations journalières (+ 300%) est observée en Grande Bretagne prouvant qu'un très haut taux de couverture vaccinale ne protège pas la population de la reprise de l'épidémie .
Le 17 juin 2021 la Grande-Bretagne très vaccinée comptait plus de 10000 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu'en France (deux fois moins vaccinée) démontrant que l'espoir d'une immunité de groupe avec les pseudos vaccins actuels est une illusion.
De même, l'espoir d'éviter une nouvelle vague par la vaccination est illusoire car la recrudescence récente de l'épidémie en Grande Bretagne montre l'inefficacité du vaccin actuel contre le nouveau variant, comme cela est habituel avec la vaccination anti grippale.
Les vrais vaccins efficaces (diphtérie, poliomyélite…), protègent totalement les vaccinés et empêchent la transmission de la maladie. Ce n'est pas le cas des pseudo vaccins anticovid actuels. Alors pourquoi cette propagande mensongère pour la vaccination des adolescents qui coûterait environ 160 millions € (en plus des 5,2 milliards prévus) aux finances publiques et tant de drames pour les adolescents ?
Heureusement, l'épidémie disparait de France depuis avril, bien avant qu'un hypothétique effet de la vaccination puisse l'expliquer
Alors pourquoi prendre le risque de vacciner les adolescents, alors que cette vaccination ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel, et que les résultats cliniques dans les pays les plus vaccinés sont très inquiétants (en particulier problème des myocardites) ?
35 milliards € gaspillés pour les tests, plus de 15 milliards € par la fermeture des écoles, 30 milliards € pour les masques, plus de 5 milliards € pour les pseudos vaccins, plus de 100 milliards € pour les confinements : le « quoiqu'il en coûte » des mesures sans justifications scientifiques menace directement l'avenir économique de la nation.
Il est temps que la gabegie de la folie corona s'arrête et qu'une stratégie respectueuse des faits scientifiques du monde réel et des médecins de terrain soit adoptée pour permettre à l'économie de redémarrer normalement.