Voilà qui va regonfler le moral des entrepreneurs. Les récentes difficultés économiques rencontrées par les entreprises n'incitaient pas à l'optimisme. L'adoption en commission de la loi Macron est forcément de bon augure de retrouver la croissance.
Les entrepreneurs que nous sommes, demandons plus de simplicité et de flexibilité au quotidien. Nous saluons cette adoption qui est le début de l'initiation d'une dynamique entrepreneuriale positive.
Nous sommes encalminés dans un univers administrativo-bureaucrautique chronophage et hostile aux entrepreneurs.
Chacun doit comprendre que pour un entrepreneur, embaucher peut faire peur car il s'agit d'un engagement de long terme sans visibilité ni garantie. Le pessimisme actuel des entrepreneurs est excessif. Il risque de nous entraîner dans une spirale dépressive. La Loi Macron doit être adoptée et mise en place rapidement.
La défense de l'emploi doit passer par la modernisation de notre système social, fiscal, administratif et règlementaire. La dépénalisation du délit d'entrâve envoit un signal très positif aux entrepreneurs et aux entreprises étrangères pour qu'elles s'implantent en France et y crée de l'emploi.
Notre système fiscal ne doit plus pénaliser la réussite et pousser les jeunes à aller travailler à l'étranger ou démotiver nos entrepreneurs talentueux qui s'expatrient. C'est même la dynamique inverse qu'il s'agit d'initier !
Enfin, notre protection sociale actuelle est totalement inadaptée aux réalités économiques et sociales auxquelles nous sommes confrontées comme entrepreneur. Il faut d'urgence ouvrir le marché de la protection sociales, abolir le monopole de la SECU et laisser jouer la concurrence !
D'énormes gisements de compétitivité seront alors libérés, bien plus que ne pourrait le faire l'exploitation du gaz de schiste !
Il faut rendre aux Français leur liberté. La croissance passera par la liberté économique retrouvée ! La croissance passera par plus de liberté pour nos millions de milliers d'entrepreneurs. La Français n'ont pas peur de la mondialisation si on cesse d'entrâver leurs désir de mouvement !