Google Glass : Google interdit la revente et le don

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Par Tugdual de Dieuleveult Modifié le 18 avril 2013 à 14h29

Vous pensiez pouvoir les utiliser un jour sans les avoir acheté... Eh bien vous ne pourrez pas ! Google qui commercialise au compte goutte une version prototype de ses fameuses lunettes-ordinateur intelligentes vient d'en interdire la revente ou même le prêt et le don. "Vous ne pouvez pas revendre, prêter, transférer ou donner votre appareil à une autre personne. Si vous revendez, prêtez, le transférez ou donnez votre appareil à toute autre personne sans l'autorisation de Google, Google se réserve le droit de désactiver l'appareil, et ni vous ni la personne non autorisée d'utiliser l'appareil auront droit à aucun remboursement, support produit, ou garantie du produit", prévient ainsi Google dans ses conditions d'utilisation, annonce Wired.com.

Donc même si, développeur, vous avez déboursez les 1500 dollars nécessaire pour obtenir ce gadget novateur, personne d'autre que vous ne pourra en profiter. Et même si vous, simple internaute, avez dépensé les 8 000 dollars que Google vous demande pour jouir de cette avant-première, même tarif : vous ne les revendez pas.

Et c'est dommage. Sur e-Bay, un modèle mis en ligne par un jeune américain de 26 ans pour 5000 dollars, a fait grimper les enchères jusqu'à 95 300 dollars, rapporte Itespresso.fr.

Les Google Glass devraient être réellement commercialisées fin 2013, début 2014... Rien de très précis.

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Journaliste pour RMC.fr, Tugdual de Dieuleveult a demarré sa carrière à la télévision en réalisant un documentaire pour Canal+/Lundi Investigation (Dieuleveult : enquête sur un mystère). Il s'investit dans l'ONG Solidarité Internationale et part au Darfour en 2008 pour la Journée Mondiale de l'Eau. En 2010, il rejoint l'équipage de La Boudeuse en Amazonie et participe à l'élaboration de deux documentaires diffusés sur France 5. Il se spécialise ensuite sur le web et collabore avec plusieurs rédactions dont Europe 1, Atlantico, Oh My Food et RMC depuis 2012. Il a intégré Economie Matin dès sa création.