Alors que les plus grandes entreprises mondiales ont très largement intégré les codes et le langage de la RSE, les scandales fiscaux à répétition apparaissent comme le revers de la médaille et interroge sur la bonne foi des grands groupes. Une question posée par une blogueuse spécialisée québécoise.
Il y a l’image que l’on veut renvoyer d’un côté et la réalité de l’autre. De la même façon il y a l’annonce de la RSE à tous les niveaux et les scandales fiscaux planétaires. Si l’on regarde ces deux dernières années, alors même que toutes les entreprises jurent dans leurs communications que la responsabilité est au cœur de leur stratégie, les révélations sur les pratiques fiscales douteuses n’ont jamais été aussi importantes.
Les défenseurs des entreprises dans le viseur des Panama puis Paradise Papers – pour ne citer que les affaires les plus ronflantes – ont beau jeu de dire que les pratiques sont légales, en matière de RSE l’idée n’est pas d’être dans la légalité mais d’être responsable et engagé justement. Ce qui est en tout cas certain, c’est qu’aux yeux du grand public ces affaires sont la démonstration d’une hypocrisie généralisée.
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