Alors que la France va assurément devoir faire face à une très grave crise économique qui mettra peut-être au chômage 1 million de travailleurs, la CGT appelle à la grève permanente …
Combien de travailleurs les syndicats vont-ils encore mettre au chômage ? Combien d'entreprises les syndicats vont-ils encore faire fermer ou mettre en grave difficulté ?
Nous faisons face à un véritable scandale. L'économie du pays n'a plus les moyens d'être tenue par une poignée de syndicalistes dans la revendication permanente, qui par leurs menaces empêchent nos dirigeants politiques de mettre en œuvre des réformes. Le « dialogue social » n'est qu'un prétexte à la soumission du pouvoir élu démocratiquement à la dictature des syndicats financés par les contribuables.
Comment la France peut-elle continuer à accepter que 8,8% de salariés syndiqués entrainent dans l'abîme le reste du pays ? Ce manque d'intérêt des travailleurs révèle le décalage entre les enjeux politiques défendus par des syndicats subventionnés et les attentes de travailleurs qui ne se sentent pas représentés.
Contribuables Associés se bat pour faire entendre sa voix. L'association vient de lancer une campagne et demande aujourd'hui que les ressources financières des syndicats se limitent aux seules cotisations des syndiqués.
Selon Eudes Baufreton, Directeur de Contribuables Associés, « nous ne pouvons pas nous permettre de financer des syndicats au taux de représentativité quasi nul, qui bloquent la France , altèrent l'économie de notre pays et fabriquent des chômeurs avec l'argent de nos impôts ».
Jean Castex doit reprendre en main le dossier du financement des syndicats. C'était une promesse d'Emmanuel Macron lors de sa campagne présidentielle de 2017. Il est temps de faire le ménage dans des pratiques qui n'ont que trop duré.
Contribuables Associés , première association de contribuables de France - apolitique, non partisane et non subventionnée - ; est engagée depuis 1990 pour la bonne maîtrise de la dépense publique pour une réduction des impôts.
Notre infographie sur les syndicats