Les restaurateurs pourront-ils obtenir des dommages et intérêts des fabricants des tests PCR et/ou des gouvernements ? Procédures en cours
La peur de la punition pénale mais surtout de la sanction financière sera-t-elle plus efficace que tous les arguments moraux et scientifiques ? Les mesures prétendument sanitaires, destructrices pour l'économie et en particulier pour les restaurateurs, les hôteliers, et les stations de sports d'hiver françaises prennent pour prétexte le taux élevé de positivité des tests PCR1 en prétendant qu'il reflèterait le nombre de malades et le risque de contagion. Or il n'en est rien. Il s'agit d'une erreur et/ou d'une tromperie internationale orchestrée par l'OMS et Drosten.
La supercherie des tests PCR date de janvier 2020 via le dr Drosten conseiller de Mme Merkel
La démonstration en a été faite par la cour d'appel portugaise et détaillée dans la plainte allemande déposée le 23 novembre 2020. La justice française devrait s'en emparer prochainement et les ARS qui imposent encore à ce jour 7 décembre des fermetures d'écoles injustifiées et pire encore des isolements des ainés en EHPAD pourraient peut-être finalement avoir des comptes à rendre pour leurs décisions autoritaires basées sur des tests inadaptés.
« Le PCR - Polymerase Chain Reaction » est inadapté pour diagnostiquer seul la COVID-19 et encore plus pour savoir si une personne est contagieuse ou pas.
Sensibilité et spécificité de la technique PCR
Tout test à visée diagnostique est exposé à deux types d'erreurs ; celle consistant à ne pas reconnaitre un sujet malade (faux négatif) ; et l'erreur inverse, celle à déclarer malade une personne qui ne l'est pas (faux positif). On qualifie de spécifique un test qui expose à très peu de faux positifs et de sensible un test qui donne très peu de faux négatifs. Les tests PCR tels qu'ils sont pratiqués actuellement sont trop sensibles et peu spécifiques.
Cette technique consiste à « amplifier (multiplier) » les petits segments d'ARN retrouvés dans les prélèvements pour voir s'ils correspondent à une partie du virus. Le test ne recherche donc pas un virus entier capable de se reproduire dans les cellules de l'hôte, mais de simples fragments de l'ARN viral qui ne sont en aucun cas infectieux.
Un test PCR ne permet pas seul le diagnostic de maladie
L'inventeur de la PCR, Karys Mullis (décédé en aout 2019) lui-même avait d'emblée averti que ce n'était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque souvent de spécificité, en particulier lorsqu'il ne recherche qu'un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d'autres virus tels que d'autres coronavirus source d'infection saisonnière banale. Pour pallier cette spécificité trop faible, les chinois en recherchent plusieurs (5 à 6). La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d'amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d'amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible mais la spécificité diminue fortement. En France, comme dans beaucoup d'autres pays, le nombre d'amplification dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs.
Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu'elle a rencontré le virus à un moment ou un autre ; il a été en particulier démontré que des fragments de virus pouvaient être retrouvés près de 2 mois après la guérison du Covid19.
La jurisprudence portugaise
C'est sur ces données scientifiquement indiscutables que la cour d'appel portugaise23 4a fait libérer des touristes allemands mis en quarantaine forcée sur la seule foi d'un test positif. Dans ses attendus 5 , il est clairement statué :
« Le test PCR retenu n'est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins.
Le diagnostic d'une infection doit être posé par un médecin inscrit à l'ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s'il le juge nécessaire.
Le diagnostic posé sur un test PCR viole l'article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n'est pas respectée car il n'a pas eu de consentement éclairé des personnes . »
Un test positif ne signifie donc pas que vous êtes malade, ni même porteur du virus et ne devrait jamais être utilisé à des fins de décisions contraignantes.
Un test positif ne signifie pas que vous êtes contagieux
Pour transmettre la maladie, une personne contaminée doit recéler des virus entiers (son génome complet) et l'excréter en quantité suffisante.
Pour évaluer la contagiosité d'une personne infectée, il faut donc voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Deux très larges études récentes comparant la positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures6 7montre qu'il existe une bonne corrélation (supérieure à 70% des cas) pour un nombre de cycles d'amplification inférieur à 25, puis qu'elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente (environ 10% pour 34 cycles et moins de 5% au-delà).
Néanmoins, le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l'OMS - et par d'autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID / NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l'hôpital Charité de Berlin, et sans que le risque de faux positifs et/ou qu'une limite maximale du nombre de cycles d'amplification ne soit clairement spécifiés.
La croyance en ce seul test est délétère, et sa manipulation volontaire délictueuse.
Son coût direct est considérable .
La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020 8 et devrait croître chaque année de 3,1% d'ici 2027 , si le monde ne met pas fin rapidement à cette supercherie.
En France , la généralisation des tests PCR, sa réalisation sans ordonnance et sa prise en charge à 100% ont couté plus d'un milliard d'euros à la sécurité sociale, sans aucun bénéfice sanitaire appréciable, bien au contraire (angoisse généralisée, arrêt de travail, fermetures de classe, dépression, peur panique du sujet déclaré positif et de sa famille et amis). Une hystérie collective peu maitrisable. Ce milliard n'aurait-t-il pas été plus utile s'il avait été consacré à la remise en état de notre système de santé ?
Ses coûts indirects sont beaucoup plus lourds
Coût sanitaire (les victimes collatérales des tests) : les malades urgents ne présentant aucun signe évoquant le Covid19 voient leurs soins retardés par l'attente des résultats d'un test qu'on leur a imposé à l'entrée dans le service adapté à leur pathologie, sans raison médicale valable (les tests ne devraient n'être indiqués médicalement qu'en cas de suspicion clinique de Covid19).
D'autant que cette attente peut être très longue : nous avons connaissance de plusieurs malades qui ont attendu plusieurs semaines avec des tests tantôt positifs, tantôt négatifs avant qu'ils ne puissent recevoir les soins dont ils avaient besoin, tout en bloquant pour rien ces fameux lits d'hospitalisation aigus (cardiologie intensive par exemple). Comme lors du confinement, ces retards aux soins diminuent largement leur chance de guérison et plusieurs cas de décès évitables ont été publiés par des plaignants.
Quelle sera la responsabilité personnelle des médecins qui se sont livrés à ces pratiques douteuses en obéissant à une hiérarchie soumise aux agences régionales de santé et à Big pharma ? Ils feraient bien en tous cas d'être prudents car la mystification des tests se dévoile au grand jour dans de nombreux pays, y compris en France. Les lanceurs d'alerte comme le dr Peter El Baze ou le docteur Pascal Sacré et le pr Denis Rancourt, qui le disaient depuis des mois dans un silence assourdissant commencent à être relayés.
Malgré tout, les pensionnaires des Ehpad sont de nouveau séparés de leur famille et de leurs soutiens supposés non essentiels, favorisant les syndromes de glissement, les suicides, parce que des tests faux font croire à une persistance de l'épidémie, à un risque non calculé, à une balance bénéfices-risques jamais prise en compte.
La maltraitance de nos ainés non déchus de leurs droits civiques et pourtant auxquels on n'a pas demandé leurs choix relève du droit commun et ne saurait perdurer sans recours judiciaire. Les directeurs soumis aux ARS dont ils ne fournissent que rarement les ordres administratifs ne seront pas absous sous prétexte de caporalisation 9.
Le Panic Paper
Un rapport allemand classé mais divulgué a mis en exergue l'utilisation de la multiplication des tests faussement positifs pour répandre la peur en Allemagne. Manifestement les techniques utilisées pour faire croire à la pandémie sont celles imposées par l'OMS conformément aux accords signés par 194 pays en 2017 en cas de pandémie (dont l'OMS elle -même déclare l'existence en modifiant les critères antérieurs). 10
Les faux positifs entretiennent la peur dans la population et augmente considérablement le nombre de dépressions, de suicides, d'hospitalisations en psychiatrie dont le manque de lits est largement aussi criant que les lits de réanimation, mais dont on parle peu dans les médias ; la consommation d'anti dépresseurs a largement doublé depuis les mesures sanitaires liberticides, de même que les demandes de consultations spécialisées ou d'aides téléphoniques. La fermeture des universités prévue jusqu'à fin janvier est également une catastrophe non seulement pour l'enseignement -la démonstration est maintenant sous nos yeux que le virtuel ne remplace pas la présence physique- mais psychologique avec plus de la moitié des étudiants déprimés, parfois gravement.
La peur choisie comme mode de gouvernance entraine la sidération du peuple et explique la facilité avec laquelle les gouvernements obéissants à big pharma via l'OMS ont pu depuis des mois imposer des mesures arbitraires, incohérentes à tout un ensemble de citoyens.
L'exemple le plus récent est celui de l'interdiction de l'ouverture des remonte-pentes dans les stations de ski par ailleurs ouvertes, mais sans restaurants ni bars. L'interdiction aux français d'aller skier en Suisse ou en Autriche, alors que la France a toujours refusé la fermeture des frontières tient aussi du cocasse, ou d'une stratégie visant à créer de la confusion mentale et de la dissonance cognitive.
Ceci explique sûrement en partie l'acceptation aberrante par les restaurateurs de mesures iniques (distance entre les tables alors que le RER reste ouvert et les voyageurs tassés comme des sardines), et qui s'étonnent aujourd'hui qu'on les ferme brutalement, alors qu'ils ont été « sages ». L'acceptation de la soumission ne fait qu'encourager les bourreaux et ne conduit qu'à une soumission de plus en plus intense. L'expérience des conjoints victimes de pervers narcissiques aurait dû alerter les différentes professions manifestement « maltraitées » au sens propre, sans aucune justification sanitaire.
Coûts économiques et sociaux
Les tests ont probablement parfois servi de prétexte pour des salariés protégés qui désiraient ne plus travailler pendant dix jours par peur ou confort apparent, ou volonté d'éloignement d'un environnement de travail toxique dans cette atmosphère de peur ? Il suffit de se faire tester de manière répétitive jusqu'au premier faux positif. Après un « contact supposé à risque », le trop long temps d'attente des résultats des tests et les isolements secondaires aux faux positifs désorganisent la production et plombent davantage les comptes sociaux et finalement déstabilisent le salarié qui en a initialement semblé en bénéficier, mais sombre dans l'isolement, l'illogisme, l'incompréhension.
Les commerces même rouverts auront du mal à rattraper leurs pertes
Une grande majorité de la population tétanisée, sidérée, paralysée par la peur du Covid19 ne pense plus à acheter, ou à se distraire (même quand elle en a encore le droit). Or l'économie repose sur la confiance et la lisibilité. La reprise économique espérée n'apparaitra qu'avec la fin totale des mesures sanitaires iniques et injustifiées, qui nous asphyxient parfois lentement mais toujours sûrement. La prise de conscience par la majorité de la population de la manipulation et donc de l'absence de tout danger sanitaire sera également nécessaire, mais restera difficile avec le matraquage quotidien pour vendre ce pseudo vaccin, thérapie génique qui devrait remonter le commerce international.
Le drame des restaurateurs complètement invraisemblable
Parmi ces victimes économiques des mesures sanitaires faussement « justifiées » par ces tests imparfaits et truqués 11 de fait, restaurants, hôtels, cafés, discothèques, clubs de sport, stations de sports d'hiver, piscines sont actuellement parmi les plus menacés, alors que rien ne prouve 12 que leur interdiction de travailler puisse d'une quelconque manière modifier l'évolution de l'épidémie qui disparaît progressivement d'Europe, et plus rapidement dans les pays qui n'ont pas confiné aveuglément.
Leurs pertes d'exploitation sont quasi totales, les mesures de compensation gouvernementales dérisoires ou absentes (artisans sans salariés) et leurs assurances font tout pour éviter de les indemniser. La seule voie qui semble ouverte actuellement dans la légalité et avant plus de désespoir et violence, parait la voie judiciaire ouverte par les allemands.
Ne pourraient-t-ils pas se retourner, entre autres, contre les fabricants des tests par lesquels leur malheur est arrivé, et contre les spécialistes qui ont menti aux politiques ?
Un espoir d'indemnisation pour restaurateurs, hôteliers, et stations de sports d'hiver, artisans ? L'heure est au judiciaire qui pourrait bien changer la donne
Une commission extra parlementaire allemande a initié dès juillet ses travaux pour un Nuremberg du covid. Ainsi, lorsque l'idée d'un recours international et d'un procès Nuremberg 2, est apparue une bouffée d'espoir permettant d'imaginer une sortie autre que tragique de ce scénario catastrophe que nous vivons depuis bientôt un an. 13
Le Dr Reiner Fuellmich , avocat de l'ACU, (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss ou ACU) explique dans sa première vidéo d'octobre 2020 comment le recours collectif, pourrait mettre un terme aux mesures destructrices de l'économie et les inverser, en dédommageant les personnes lésées et les petites et moyennes entreprises qui n'ont eu d'autre choix que de déclarer faillite et de licencier leurs employés.
« ARTICLE DE LA FAUSSE ALERTE
Fuellmich cite un document divulgué par un fonctionnaire allemand du ministère de l'Intérieur, surnommé « l'article de la fausse alerte » : « il n'y a aucune preuve suggérant que le SRAS-CoV-2 pose un risque grave pour la santé de la population, du moins, le danger n'est pas plus grand que celui de nombreux autres virus, tandis que les mesures pandémiques ont des conséquences « multiples » et « graves ».
" Ceci, conclut-il, conduira à des demandes de dommages-intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu pour responsable. Cela est maintenant devenu une réalité mais l'auteur de l'alerte a été suspendu", a déclaré Fuellmich.
« De plus en plus de scientifiques, mais aussi d'avocats, reconnaissent qu'en raison de la panique délibérée et des mesures corona permises par cette panique, la démocratie est en grand danger d'être remplacée par des modèles totalitaires fascistes ...
Selon les psychologues et psychothérapeutes qui ont témoigné devant le comité corona, les enfants sont traumatisés en masse, avec les pires conséquences psychologiques à prévoir à moyen et long terme ».
En Allemagne, de 500 000 à 800 000 faillites devraient frapper à l'automne les petites et moyennes entreprises qui constituent l'épine dorsale de l'économie. Cela se traduira par des pertes fiscales incalculables et des transferts d'argent de la sécurité sociale incalculablement élevés et à long terme pour, entre autres, des allocations de chômage. "
Ainsi les fabricants du test PCR et les autorités de santé vont enfin devoir s'expliquer pour avoir mis sur le marché des tests non fiables et en le sachant 14 et imposé de fait des mesures aberrantes comme le confinement qui ont ruiné des pans entiers des économies nationales 15.
Si leur responsabilité directe est établie, ils devront répondre des dommages sociaux et économiques qui découlent de la supercherie des tests et les réparer financièrement. C'est ce qu'espèrent les initiateurs de la plainte internationale, Reiner Fuellmich et associés dont la plainte allemande déposée le 23 Novembre est la première pierre.16 17
Un espoir d'indemnisation est envisageable, si des millions de personnes dans le monde entier se joignent au procès de recours collectif qui sera déposé aux États-Unis, pays coutumier des class actions. Plus de cinquante pays sont d'ores et déjà susceptibles de rejoindre le mouvement par des plaintes nationales, mais aussi celles de citoyens se joignant individuellement aux class actions américaines. Il était temps que le judiciaire prenne la main.
L'avocat Reiner Fuellmich soulève un point important. L'OMS, le Forum économique mondial et les Nations Unies sont tous des sociétés privées, mais elles exercent un pouvoir énorme sur les gouvernements du monde.
« Nous devons leur reprendre le pouvoir et le remettre à sa place, avec le gouvernement, et nous devons examiner de très près qui est au gouvernement et qui est devenu trop proche de ces sociétés ».
Son plan de bataille consiste à démontrer au tribunal qu'il n'y a pas de pandémie de virus, mais une pandémie de tests PCR, par étapes.
L'ACU travaille également à la création de lignes directrices juridiques et de dossiers de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour intenter leurs propres poursuites.
Quant au citoyen lambda, Fuellmich exhorte tout le monde à, tout d'abord, ne pas abandonner, et d'autrement, poser beaucoup de questions. Continuez à poser des questions parce que plus les questions sont posées, plus les réponses seront claires .
Continuez à contrer la censure en posant des questions. Une fois que les audiences commenceront, l'information commencera à se propager plus rapidement.
Pour en savoir plus, toutes les réunions de l'ACU sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube25 du Comité). Fuellmich peut être contacté via www.fuellmich.com, et le Comité d'enquête Corona via corona-ausschuss.de.
Des informations en plusieurs langues devraient également être disponibles sur https://acu2020.org/english-versions/
N'hésitez pas non plus à joindre les avocats français dont plusieurs sont en relation étroite avec le groupe de Fuellmich, par exemple maitre Brusa, reaction19fr, et le groupe de Robert F Kennedy (children's health defense) aux USA.
Article original en anglais : Germany's Extra-Parliamentary Corona Investigative Commission Launching a Class Action Suit Against Corona Criminals, le 4 octobre 2020 Traduit par Maya pour Mondialisation
Clinical Infectious Disease) 2020. Oxford University Press for the Infectious Diseases Societyof America.
L'examen externe par des pairs du test RTPCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences pour les résultats faussement positifs.
https://cormandrostenreview.com/report/
« À mon avis, il est tout à fait invraisemblable que [Drosten] ait oublié en 2020 ce qu'il savait des tests PCR et a dit au magazine économique en 2014. Bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses allégations selon lesquelles il le pourrait. »