« Je vote pour mon entreprise ! » C’est ce que se sont dit les entrepreneurs lors de cette élection présidentielle ! Mais d’évidence, le gouvernement en place avait coché la case : « acquis » pour le vote patronal.
Or, la tentative de séduction à gauche d’Emmanuel Macron a irrité au point que nombre d’entre eux se sont abstenus...
Ils s’inquiètent :
- Que l’on punisse l’industrie (exemple : plastique jetable-recyclable) au nom de l’écologie...
- Que l’on lance une grande opération de limitation des salaires
- Que l’on retombe sur un gouvernement-manager qui ne consulte pas les patrons
- Que l’on nomme des ministres technocrates sans fibre entrepreneuriale
Tout reste à faire pour libérer la France entrepreneuriale, économiquement d’abord, ce qui est la clé du pouvoir d’achat... « Ce n’est pas l’État qui augmente les Français, ce sont les entrepreneurs qui augmentent leurs salariés quand ils ont la marge suffisante » rappelle Sophie de Menthon, présidente du Mouvement ETHIC (Entreprises de Taille Humaine, Indépendantes et en Croissance).
Qu’est-ce qui va changer - en mieux - sous le nouveau quinquennat pour les entrepreneurs ? Cela n’a pas été évoqué durant la campagne... L’attente est plus forte que jamais .