OPINION
Hollande a lancé nos troupes au Mali, en Centre-Afrique et maintenant en Irak. Que va faire l’armée d’une France proche du dépôt de bilan, une armée dont on réduit chaque jour les moyens, dans ce nouveau bourbier islamo-islamiste d’Irak ? Faire la promotion de l’improbable chef de guerre de l’Élysée, de son Rafale boudé par l’Inde ou du Mistral bloqué par sa ridicule posture "anti-Poutine" ? Soyons sérieux : malgré un prétendu sursaut de popularité du président français (à désespérer de mes compatriotes), "notre apport militaire est marginal voire nul !" confirme sur BFMTV Jean Christophe Rufin, ancien ambassadeur au Sénégal et auteur de "Katiba", développant sur LCI "Les frappes françaises en Irak sont inutiles et dangereuses."
Une dizaine de milliers de terroristes de l’Etat islamique sont parfaitement localisés nous explique Alain Chouet, ancien expert de la DGSE dans son instructif article "L’État islamique manquera bientôt de ressources humaines et financières !". Devant les caméras ils jouent au foot avec les têtes des suppliciés, se pavanent fièrement dans les rues avec leur sinistre drapeau noir, égorgent des citoyens américains, éventrent femmes et enfants... et on veut nous faire croire que quelques frappes américaines bien ciblées n’en viendraient pas à bout ? Bref, nul doute que les jours de l’État islamique sont comptés mais le problème pour nous restera entier même dramatiquement accru !
Si le gouvernement socialiste fait de l’esbroufe derrière le géant américain, les menaces d’attentats sur notre territoire se précisent :
le Premier ministre irakien Haïdar al-Abadi a affirmé, selon la BBC, avoir intercepté des projets d'attentats dans le métro parisien… Quant aux représailles, elles sont bien réelles. Demandez à la famille de ce malheureux Hervé Gourdel, décapité «parce qu’il était Français» nous explique niaisement Hollande. Ah il est certain qu'il gambaderait toujours en Kabylie si en plus d’être Français, il avait été musulman "intégriste patenté". Car des "Français" musulmans au milieu des Dae’ch de l’État islamique et ou de Jabhat al-Nosra qui conservent la tête sur les épaules, il y en a un paquet ! C’est même le plus gros contingent d’Occident et de loin !
A l'issue d'une périlleuse enquête de terrain, Samuel Laurent relate dans son livre «Al-Qaïda en France» les propos de Abou Hassan, émir salafiste quelque part dans une cité française : "Si la France entre en guerre contre l'islam, elle en paiera le prix. Nous la frapperons au cœur. Dans ses bus, dans ses trains, dans ses gares, dans ses avions, dans ses centres commerciaux... Vous marcherez dans les tripes et dans le sang ! Et vos dirigeants n'échapperont pas non plus au carnage." (déclare l'émir français Abou Hassan)
La majorité des musulmans pacifistes n'a aucune espèce d'importance comme l'explique magistralement Brigitte Gabriel, journaliste américano-libanaise dans cette vidéo : l'islam littéraliste a déclaré la guerre à la France... en France.
Que va faire notre gouvernement quand les milliers de terroristes s'égailleront dans nos banlieues déçus et avides de vengeance ?
Oui je dis bien "les milliers" les chiffres officiels 400, 700 puis 1000 étant largement sous-estimés conformément au mot d’ordre "Pad’Panique, Pad'Amalgame" ! Ils étaient il y a un mois 3000 binationaux selon l’estimation faite sur place par Samuel Laurent.
Non seulement ils viendront grossir les rangs des agents rampants du califat mondial un peu partout en France, mais ils seront soutenus par cette population musulmane voilée niqabée ou barbue en qami et djellaba, cette communauté galvanisée par les thèses salafistes qui se cotise depuis des mois pour l’État Islamique.
125 000 sympathisants de l’État islamique dans nos banlieues
Samuel Laurent poursuit son entretien avec Abou Hassan l'émir salafiste dans une cité en France. Celui-ci indique des chiffres effarants : il y a 200 salafistes rien que dans ce quartier qui ont récolté 50 000 € de sympathisants désireux de soutenir l’État islamique. Ces dons circulent par des réseaux de transfert d’argent informel, connus sous le nom d’Hawala exclusivement basés sur la confiance entre musulmans et impossibles à pister.
L’auteur tire le bilan des effectifs : "Admettons qu’ils ne soient que 50 au sein de ces 2500 quartiers prioritaires recensés par l’État français. Leurs effectifs seraient alors de 125 000 hommes [NDLR : sans compter les femmes]. Et cela si on considère qu’il n’existe aucun salafiste en dehors des cités sensibles, ce qui là encore serait une erreur. 125 000 salafistes qui suivent exactement la même idéologie et qui œuvrent à un seul et unique but : le renversement de l’État et la mise en place d’un califat islamique."
Je tremble encore à l'idée qu'à seule fin électoraliste, les socialistes envisagent d'accorder le droit de vote aux étrangers ! Par bonheur, le Sénat vient de basculer à droite freinant la modification nécessaire de notre constitution.
A l'instar de Jean Paul II, sa sainteté le pape Cazeneuve nous serine "N’ayez pas peur !" Quant à Monseigneur Fabius il refuse d'utiliser les mots consacrés espérant annihiler la réalité de l'islamisme. Et je ne parle même pas de l’épisode rocambolesque des trois djihadistes "égarés" à Marseille quand on les attend à Orly ! Le clergé socialiste tout à son sacerdoce "sauver Flanby", bien au chaud derrière les services de sécurité, installé aux buffets festifs de la République, ne semble vraiment pas mesurer les conséquences pour la nation de son amateurisme criminel... à moins qu’il s’en moque ? Pour assurer la sécurité nationale, aucune mesure vitale de prévention (information, éducation, mise en garde) n'est prise. C'est l'omerta et la désinformation à tous les étages : politiques et médias scandaleusement ignares sont dans le déni de la réalité de l'islam politique "pour être gentil" comme dit Eric Zemmour ajoutant "On ne peut pas dire que Mahomet est musulman à la Mecque, et islamiste à Médine".
Redoutant des attaques terroristes sur leur territoire après le retour des djihadistes de l’État islamique, les pays prennent des mesures d'exclusion :
L’Arabie Saoudite refuse le retour des djihadistes sur son territoire. les gouvernements de l’Espagne, des Pays-Bas, de Norvège, du Danemark, Boris Johnson maire de Londres (et j'en oublie) veulent retirer la nationalité européenne des djihadistes.
Et la France ?
Il suffirait de faire appliquer la loi ! En effet , l'article 25 de notre Code Civil prévoit "L'individu qui a acquis la qualité de Français peut, par décret pris après avis conforme du Conseil d’État, être déchu de la nationalité française, sauf si la déchéance a pour résultat de le rendre apatride" : notamment alinéa 4 "s'il s'est livré au profit d'un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France."
Dormez braves gens, François Hollande s’occupe de tout !
Calculette pour revolte.exprimetoi.com
(Sondage ici > Faut-il retirer leur nationalité française et expulser les binationaux qui servent l'Etat islamique ? )