Législatives : pour un front de libération des entreprises

Le mouvement ETHIC (Entreprises de Taille Humaine Indépendantes et de Croissance) prend acte d’une Assemblée nationale plus éloignée que jamais du monde de l’entreprise.

Alors que le monde politique est totalement égaré dans des errances ingérables, l’entreprise est le dernier socle qui tienne debout la société française. La sauvegarde de nos entreprises, leur préservation doit être la boussole qui guide tous les arbitrages politiques, avant même la nomination d’un premier ministre.

• NON à tout ce qui déstabiliserait nos comptes de résultats, nos équilibres économiques, donc notre pérennité.
• NON à tout ce qui ferait croître les taux d’intérêts.
• NON à tout ce qui creuserait nos déficits menant à des licenciements et à l’accroissement des défaillances.
• Et ce, pour le bien de nos salariés.

Les entrepreneurs du mouvement ETHIC considèrent qu’ils entrent dans un combat nécessaire et réel face aux possibles largesses idéologiques inconséquentes d’élus qui demanderaient de redistribuer ce qu’elles ne permettraient pas de produire.

Voici les craintes exprimées par les adhérents d’ETHIC lors d’une consultation la semaine précédant le second tour pour connaître leur état d’esprit (échantillon de 166 patrons d’entreprises de toutes tailles et secteurs) :

• 80,9% des chefs d’entreprise sondés estimaient que les entrepreneurs et leurs salariés n’avaient pas été suffisamment pris en considération pendant la campagne-éclair des législatives.

• 23,6% disaient qu’ils réfléchiraient à quitter la France en cas d’accession du Nouveau Front Populaire au pouvoir ;

• 76,4% indiquaient n’avoir aucune confiance dans le Nouveau Front populaire.

Les entrepreneurs étant des facilitateurs de cohésion sociale dont la France a manifestement besoin, le mouvement ETHIC se tient à la disposition de tous les députés de quel que bord qu’ils soient pour leur donner des informations concrètes et chiffrées sur l’état de santé de certains secteurs et de certaines entreprises.