Pour Bruno Le Maire notre vedette de Bercy, notre illusionniste de l’économie, notre sœur Anne du ministère amer, celle qui ne voit rien venir à part l’économie qui verdoie et les rentrées fiscales qu’il nous augmentoie, tout va bien et d’ailleurs, l’impact de la crise entre Israël et le Hamas devrait être négligeable, comme celui de l’épidémie de coronavirus à Wuhan qui ne devait pas impacter la croissance française de plus de 0.1 % de PIB hahahahahaha…
Les graves conséquences économiques de la guerre en Israël
Résultat une amputation de 10 % du PIB un quoi qu’il en coûte à 600 milliards d’euros et une dette à plus de 3 000 milliards. Heureusement que c’est une équipe de « Mozarts » de la finance, sinon qu’est-ce qu’on aurait pris les amis…
Bref, du côté de la Banque mondiale, ils sont un peu moins « ravis de la crèche ».
La guerre Israël-Hamas risque d’avoir de « graves » conséquences économiques, alerte le chef de la Banque mondiale
Le conflit en cours au Proche-Orient pourrait provoquer un nouveau choc pour l’économie mondiale, selon le président de la Banque Mondiale Ajay Banga.
« Je pense que ce qui se passe en Israël et à Gaza (…) aura un grave impact sur le développement économique », a déclaré Ajay Banga, ajoutant : « Je pense que nous nous trouvons à un moment très dangereux ».
Ajay Banga s’exprimait à l’ouverture de la conférence annuelle Future Investment Initiative, souvent appelée le « Davos du désert » (plus de 6.000 délégués participent à ce forum de trois jours).
Inutile de vous dire pourquoi il pense que cela aura un grave impact…
Cours du pétrole.
Inflation.
Taux d’intérêt.
Embargo.
Pénuries massives de tout induites par le manque d’énergie.
Voilà pour la version soft du conflit…
Pour la version moins soft, vous rajoutez une guerre longue, un embrasement régional ou mondial, des coûts humains, et le passage des économies occidentales en économies de guerre !
Oui, le mot grave est assez adapté.
Vous savez ce que je pense.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !