"Economie Matin Afrique a pour vocation de traiter des sujets économiques "proches des gens", de leurs préoccupations, mais aussi de leurs envies, leurs espoirs, leurs attentes, de leur quotidien palpable et perceptible.
De facto, son contenu se doit d'être pédagogique et didactique, parfois même ludique, en utilisant autant que nécessaire la comparaison, l'image ou la métaphore. Aucun acronyme, aucun concept ne doit passer au travers des mailles du filet sans être expliqué dans l'article (ou en lexique associé), y compris les choses les plus "simples", comme le PIB, le chiffre d'affaires ou le résultat !
L'objectif, en terme de vulgarisation de l'information, est de la rendre compréhensible pour un élève de lycée en terminale ES (Sciences Eco) en début d'année scolaire... sachant que d'après un sondage réalisé par l'Institut pour le développement de l'Information Economique et Sociale, 73 % des Français déclarent que l'information économique n'est peu, ou pas accessible. De même, plus de 30 % des foyers américains déclarent ne pas faire du tout de comptes personnels (d’après Barack Obama lui-même), ce qui est une des causes principales du surendettement. Les ménages français sont logés à la même enseigne.
Il va de soi que les tribunes “bêtement” publicitaires, vantant un produit ou un service, n’ont pas lieu d’être, et décrédibiliseraient leur auteur. C’est bien d’un partage d’expérience dont il doit être question, potentiellement illustré par un produit ou un service, servant d’exemple, sans devenir le sujet central de la tribune.
Rendre accessible au plus grand nombre l'information et la culture économique est donc non seulement un objectif éditorial mais aussi un devoir démocratique, afin de participer à la refondation de notre modèle économique et social durement mis à mal par les crises à répétition qui secouent notre monde depuis plus de dix ans, voire, depuis près de quarante ans si l'on remonte jusqu'au premier choc pétrolier et… jusqu'au dernier budget excédentaire de l'Etat, en France;
Les contenus d’Economie Matin étant destinés à être lus sur un terminal mobile (smartphone) et de manière transitoire sur le web (www.economiematin.fr), l’audience des médias étant en train de se construire de manière exponentielle en situation de mobilité, au détriment du “poste fixe”, les textes ne devront pas dépasser 2500 signes, chapeau compris, mais pourront tout aussi bien tourner autour de 1000, 1500 signes si le sujet n’en mérite pas plus !
Ces textes proposeront systématiquement au moins une donnée chiffrée à découvrir, comprendre, mémoriser, en lien avec le thème de l’article. Un pourcentage, un montant, un volume, mais un chiffre, facile à retenir, qui nous servira toujours d’illustration de l’article. Dans un monde idéal, cette donnée chiffrée est sourcée, ou au moins étayée.
Des propositions de titres et chapeaux pourront être faites, mais leur version définitive restera du ressort exclusif de la rédaction, afin d’optimiser l’incitation à la lecture et le référencement du contenu.
L’acceptation de cette charte éditoriale, guide d’écriture mais aussi de facto de lecture, permettra d’offrir une cohérence d’ensemble au site, à l’application mobile, et aux contenus qu’ils diffusent, indispensables pour assurer le succès qui se mesurera en terme d’audience, et de reprise sur les réseaux sociaux, et même... sur les bancs de l’école ! Ce dont nous pourrons collectivement être fiers, vu le poids des responsabilités qui pésent déja sur les générations à venir...
Les contenus sont à transmettre par e-mail à [email protected] au format Word, avec le cas échéant (première collaboration), une courte biographie de l’auteur (300 signes max) et une photo au format jpg d’une taille de 50 ko minimum.
Tous les outils de promotion de contenus, par le biais des partages sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter, Google+, mais aussi par le biais de newsletters, etc, seront mis à disposition des experts d’Economiematin.fr, afin de leur assurer un maximum de visibilité.