« J'imagine qu'on peut renforcer davantage les capacités de la Banque européenne d'investissement ». Angela Merkel au quotidien allemand Leipziger Volkszeitung samedi 28 avril 2012.
Une déclaration aussitôt interprétée comme un fléchissement possible de la position allemande refusant jusqu'ici que la BCE fasse du "quantitative easing", comme la Federal Bank américaine. Autrement dit, que la BCE fasse tourner la planche à billets pour alimenter les caisses de la Banque européenne d'investissement, ce qui pourrait être source d'inflation mais aussi déresponsabiliser les Etats européens aux déficits budgétaires abyssaux...