Tout le monde n'a pas révé d'un euro fort.
Laurent Fabius, le 7 septembre 1996, alors que la monnaie unique n'était encore qu'un projet, faisait preuve de clairvoyance, en « redoutant la surévaluation de l’euro par rapport au dollar et un pacte de stabilité qui serait un pacte de récession ».
L'ancien Premier ministre et actuel ministre des Affaires Etrangères en appelait à « un euro de croissance et non un euro récessif ». Il était bien en avance...