Suite aux révélations par l'Agence fédérale américaine de protection de l'environnement (US EPA) d'une fraude du groupe Volkswagen sur les émissions polluantes de ses véhicules, la ministre de l‘Ecologie, du Développement durable et de l'Énergie, a déclaré avoir lancé une enquête approfondie.
Ségolène Royal, la ministre de l‘Ecologie, du Développement durable et de l'Énergie, a déclaré avoir lancé une enquête approfondie à la suite de la fraude du groupe Volkswagen sur les émissions polluantes de ses véhicules.
Un communiqué du ministère de l’Ecologie revient sur les propos de sa ministre et sur les enjeux qu’une telle fraude entraîne sur la scène environnementale.
L'Agence fédérale américaine de protection de l'environnement saisie
Dans son communiqué, Ségolène Royal affirme qu’elle a « saisi l'Agence fédérale américaine de protection de l'environnement pour obtenir tous les éléments d'information pertinents, permettant d'apprécier la nature de la fraude et les moyens mis en oeuvre pour la détecter. » La ministre de l’Ecologie ajoute : « J'ai demandé par ailleurs à l'UTAC (Union Technique de l'Automobile, du Motocycle et du Cycle), service technique désigné par l'État français auprès de la Commission européenne pour réaliser les essais d'homologation, d'une part de se rapprocher de l'Agence fédérale américaine de protection de l'environnement pour approfondir les mécanismes de fraude, et d'autre part de me faire des propositions d'actions. »
Lire la suite sur RSE Magazine