L’impact de l’accident de Fukushima de 2011 est encore difficile à appréhender. Des données préoccupantes ont poussé des scientifiques à lancer quatre études distinctes sur les potentielles conséquences sur la santé de l’accident.
Presque trois ans après l’accident de Fukushima il est un peu tôt pour estimer précisément les dégâts sur la santé ou l’environnement qui ont suivis. Pour l’heure aucune information n’a été donnée sur les ingénieurs, pompiers et personnels qui sont intervenus directement sur le site mais quatre enquêtes ont été menées sur les populations civiles potentiellement touchées.
La communauté scientifique estime à 100 millisieverts le seuil de danger des rayonnements ionisants. Au fait des zones touchées par des rayonnements de ce type entre le 11 et le 25 mars, les autorités ont essayé de déterminer l’emploi du temps des populations concernées soit environ 2 millions de personnes. Près de 360 000 personnes ont répondu à cette première enquête qui a établi que la dose maximale subie a été de 25 milliseverts.
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